Vous-êtes ici: AccueilActualités2023 04 19Article 719747

Actualités of Wednesday, 19 April 2023

Source: www.camerounweb.com

Justice : Bibou NISSACK sera absent du grand rendez-vous du 06 Mai, déception pour Kamto

Bibou NISSACK sera absent du grand rendez-vous  du 06 Mai Bibou NISSACK sera absent du grand rendez-vous du 06 Mai

Présenté devant le juge le 18 Avril 2023 le porte parole du président du MRC et ses camarades sont retourner en prison. La requête en Habeas Corpus d 'Olivier Bibou NISSACK a été rejetée en appel ainsi que celle de 14 autres personnes. Cette procédure avait été introduite suite à la décision du Groupe de Travail des Nations Unies pour la Détention Arbitraire (GTDA) qui demandait la libération des marcheurs pacifiques.



47 militants de l'opposition au Cameroun ont écopé de peines allant de un à sept ans de prison ferme. Ces derniers avaient été arrêtés en septembre 2020 alors que leur parti, le MRC, organisait des manifestations contre le président Paul Biya.

Ajoutons dans la foulée que le MRC tiendra son MEETING au stade de MENDONG de Yaoundé le 6 mai 2023. Maurice KAMTO son président fera certainement de grandes annonces
Plusieurs militants du parti d'opposition Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC) sont toujours incarcérés dans les prisons du pays, malgré les appels répétés de la communauté internationale à leur libération.

Parmi les militants emprisonnés figurent le président du MRC, Maurice Kamto, ainsi que plusieurs de ses proches collaborateurs. Ils ont été arrêtés en janvier 2019 lors de manifestations organisées par le parti pour contester la réélection du président Paul Biya.

Depuis leur incarcération, les militants du MRC ont été soumis à des conditions de détention difficiles, avec notamment des rapports faisant état de mauvais traitements et de torture.

Malgré les pressions exercées par la communauté internationale, le gouvernement camerounais refuse toujours de libérer les militants du MRC, arguant qu'ils ont enfreint la loi en organisant des manifestations non autorisées.

De son côté, le MRC continue de dénoncer les violations des droits de l'homme perpétrées par les autorités camerounaises, et appelle à la libération de tous les prisonniers politiques du pays.

Cette situation a suscité l'inquiétude de plusieurs organisations internationales de défense des droits de l'homme, qui ont appelé le gouvernement camerounais à respecter les libertés fondamentales et à mettre fin aux arrestations arbitraires et à la répression contre les opposants politiques.