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Actualités of Thursday, 9 May 2024

Source: www.camerounweb.com

L'affaire Samuel Eto'o - Mouelle Kombi transportée chez les militaires

Situation tendue entre Samuel Eto'o et Mouelle Kombi Situation tendue entre Samuel Eto'o et Mouelle Kombi

La situation entre Samuel Eto'o Fils et le pouvoir de Yaoundé inquiète plus d’une personne. La seule chose qu’on se demande est comment va-t-elle se finir. Ni le président de la Fecafoot, ni le ministre des Sports n’ont pas l’air de vouloir céder.

Dans ce jeu du toi à moi, Le buzz du mboa s’est permis un éclaircissement dans le jargon militaire. Il a publié ça sur les réseaux sociaux.

La Fecafoot expose son équipe dirigeante au grand jour. Malgré l'acte de rétention de Marc Brys et compagnie, une réorganisation totale est en vue pour le reste du personnel.

Le grand monarque de la Fédération camerounaise de football a gratifié Marc Brys du titre de commandant en chef des Lions indomptables avec son acolyte. Suite à la pression appliquée de manière experte par le ministre des Sports Narcisse Mouelle Kombi, un conseil de guerre s'est improvisé en urgence ce mercredi au sein de la Fecafoot.

"Face à l'urgence palpable aux portes de la préparation de nos troupes d'élites pour les qualifications à la Coupe du monde 2026" et "considérant les sommes colossales déjà investies par la royauté pour acquérir une expertise étrangère, tout en cherchant une harmonie d'esprit", la déclaration après cette assemblée a été sans appel : un nouveau régime se mettra en place officiellement.

En somme, le roi suprême de la Fecafoot, Samuel Eto'o Fils, a ordonné lors de cette journée la formation de sa propre escouade technique des Lions indomptables, avec Marc Brys restant à la barre. Le tacticien belge garde donc sa boussole en main.

De plus, la Fecafoot a désigné Joachim Mununga et Giannis Xilouris en tant que ses lieutenants. En revanche, des changements massifs ont eu lieu au sein du commandement !

Évincés par la main de fer de Samuel Eto'o Fils auparavant, l'ancien international adjoint François Omam-Biyick et le superviseur des troupes nationales Benjamin Banlock sont bien évidemment les premiers à sentir le vent tourner lors de cette restructuration.