Actualités of Friday, 22 July 2022

Source: www.camerounweb.com

7 trafiquants de drogues arrêtés à Mora

Les mis en cause seront traduits devant le procureur de la République Les mis en cause seront traduits devant le procureur de la République

• Des jeunes de moins de 30 ans ont été mises aux arrêts


• Les mis en cause seront traduits devant le procureur de la République


• Les produits dont ils font le trafic sont psychotropes


La ville de Mora connait une insécurité galopante. Devant la gravité des faits, la police a décidé de nettoyer la ville de Mora après avoir reçu des renseignements.
Après des fouilles systématiques organisées par les forces de l'ordre, sept personnes toutes des jeunes de moins de 30 ans ont été mises aux arrêts.
Les mis en cause seront traduits devant le procureur de la République près les tribunaux du Mayo-Sava lundi prochain.

Les produits dont ils font le trafic sont psychotropes. Entre autres, le cannabis, le tramadol et bien d'autres produits dopants.
Roger Saffo, le préfet du département de Mayo-Sava a saisi cette opportunité pour attirer l'attention de ses administrés sur la dangerosité de la drogue.
Cette drogue qui a pour effet la violence de tout genre, le banditisme et à l'avenir détruit le consommateur en question.
Il a tenu à saluer le commissaire principal et ses collaborateurs pour cet acte de bravoure.

Les produits dont ils font le trafic sont psychotropes. Entre autres, le cannabis, le tramadol et bien d'autres produits dopants.
Roger Saffo, le préfet du département de Mayo-Sava a saisi cette opportunité pour attirer l'attention de ses administrés sur la dangerosité de la drogue.
Cette drogue qui a pour effet la violence de tout genre, le banditisme et à l'avenir détruit le consommateur en question.
Il a tenu à saluer le commissaire principal et ses collaborateurs pour cet acte de bravoure.


Cette ville de l'Extrême-nord connaît de sérieuses difficultés sur le plan sécuritaire.
L'avènement de Boko Haram a depuis plongé le département du Mayo Sava dans la terreur. Il s'y multiplie des prises d'otages avec demande de rançon, des attaques à l'armée principale, des attaques des kamikazes et bien d'autres.
Selon les informations puisées auprès des autorités traditionnelles et religieuses du département, de nombreux jeunes ont rejoint la secte de Boko Haram par manque de travail.
Des données des mêmes sources, 64% des jeunes sont impliqués dans les agressions, les vols aggravés et à la consommation de la drogue.