Actualités of Tuesday, 5 July 2022

Source: www.camerounweb.com

A peine activée la page activée, la page Facebook de Boris Bertholt de nouveau désactivée

Le lanceur d’alerte est accusé par plusieurs personnalités de produire des informations non fondées Le lanceur d’alerte est accusé par plusieurs personnalités de produire des informations non fondées

• La page Facebook du lanceur d’alerte avait été désactivée une nouvelle fois


• Les raisons de cette désactivation n’ont pas été données


• Le lanceur d’alerte est accusé par plusieurs personnalités de produire des informations non fondées


A peine revenu sur la toile Boris Bertholt le célèbre lanceur d’alerte vient une nouvelle fois d’être désactivé. Paul Daizy Bia qui a fait le constat en fait le témoignage. « Comme vous le savez, la page Facebook certifiée du lanceur d'alertes Boris Bertholt avait été désactivée à la suite d'une enquête qui a déterminé des contenus indésirables sur ce qui était relayé ou diffusé par le promoteur de la page. Après quelques semaines de silence, Boris Bertold est revenu avec une autre page d'environ 71 112 abonnés, retour conditionné par la promesse d'être désormais sérieux dans ses publications. Annonçant donc son retour, sur un ton un peu insolent et de surestime de sa personne, alors qu'il observé de très, Facebook n'a pas attendu que ce qu'il venait de qualifier de bonne nouvelle aille plus loin, le constat est sur l'image 2, Facebook l'a encore désactivé ».

Pourtant des son retour plusieurs fans ont salué le retour du lanceur d’alerte.
Il faut noter que Boris Bertholt que certaines publications du lanceur d’alerte étaient hostiles au régime de Yaoundé. Ce journaliste, écrivain, chercheur, activiste politique et lanceur d’alerte prolifique camerounais diffusait aussi certaines informations top secrets au cœur du pouvoir d’Etoudi.
Ancien employé du quotidien Mutations et du quotidien Le Jour sa plume est critique contre la presse dite officielle. Il est très actif par ses lettres. Lanceur d’alertes, il a une plume prolifique et est accusé de faire « quelques arrangements avec la vérité » dans ses textes contre le régime de Paul Biya. Il est auteur de plusieurs livres et est chercheur doctorant à l’université de Kent-Canterbury.