« Que chacun récolte ce qu’on a semé. Ne forcez pas les gens à faire ce qu’ils ne veulent pas ». Tel est le contenu du message de Robinson Piffo sur la toile, en réponse aux incitations des activistes à faire massivement du bruit pour libérer leur jeune frère Junior Ngombe.

À ce je-m’en-foutisme de Robinson Piffo, Jorel Jacques Zang répond : « OK Robinson Piffo, c'est noté et archivé et crois-moi sur parole qu'on va te rafraîchir la mémoire le moment venu. Déjà de un, les personnes qui viennent de demander de dénoncer le cas Junior Ngombè sont celles qui ne savent pas que tu luttes uniquement pour tes intérêts à toi et une fois de plus, tu viens de le montrer en disant que c'est chacun pour soi et qu'il aurait dû fermer sa bouche.

De deux, tu dis que Bruno François Bidjang a été arrêté et personne n'a dénoncé, pourtant tu sais parfaitement que Bruno a été arrêté dans le cadre de l'affaire Martinez Zogo. C'est ce qui l'amène en prison et il a voulu jouer à la victime en surfant sur les difficultés de la vie des Camerounais pour dire qu'il est une victime de ses dénonciations sociales pourtant rien à voir.

Tu ne peux donc pas comparer le cas d'une personne qui lutte pour son bifteck avec celui d'une personne qui dénonce réellement les problèmes de société. De trois, tu dis qu'on t'a arrêté et personne n'a dénoncé.

Toi-même tu es louche avec une vie un "genre -genre " et évoluant dans un environnement et univers bizarre dont quand ça ndem dans ta vie et on t'arrête, tu veux qu'on croit à ton innocence comment pour condamner ?

Bref, ce jeune va sortir encore plus valeureux que vous tous réunis. Junior Ngombe est cette jeunesse qu'on aime. Junior Ngombe a fait ce que vous tous réunis n'êtes pas capables de faire. Lui seul a plus de valeur au Cameroun que vous tous. Donc ne te crois pas important de dénoncer sa situation, car ton avis sur lui, tu peux bien l'enfoncer où je pense. Toi-même tu vas retourner en prison et à cause de ta vie louche. Sois en sûr ».