Dans l'ombre des scandales politiques du régime Biya, l'affaire Martinez Zogo suscite des inquiétudes quant à l'équité de la justice au Cameroun. Elong Ndame, observateur averti, met en doute la capacité du système judiciaire à garantir une véritable justice dans ce dossier complexe. Face à ces préoccupations, l'auteur propose une mesure radicale : le gel de la procédure judiciaire jusqu'après les élections présidentielles d'octobre 2025.
L'argumentation d'Elong Ndame va au-delà de la simple critique du processus judiciaire. Il souligne que seul Maurice Kamto, figure politique émergente et potentiel futur président, pourrait apporter consolation et réparation aux familles des victimes. Les noms d'Yves Plumey, Irène Biya, Colonel Roger Motaze, Mgr Benoît Balla, Père Engelbert Mveng, Mme Moumie, Wasisi, Capitaine Guerandi, Me Bopda, Zamboue, parmi d'autres, s'inscrivent dans cette triste liste.
Le plaidoyer d'Elong Ndame s'inscrit dans une vision de préservation de la sérénité nécessaire pour traiter des affaires aussi graves. Le gèle de la procédure jusqu'après les élections, selon l'auteur, permettrait d'éviter toute ingérence politique indue dans un dossier qui révèle les aspects les plus sombres de la scène politique camerounaise.
En conclusion, l'article pose la question cruciale de la confiance du peuple camerounais envers son système judiciaire et souligne le rôle potentiellement déterminant de Maurice Kamto dans la recherche de vérité et de justice pour les familles des victimes de crimes politiques.