Les révélations poignantes de Paul Chouta sur l'assassinat du journaliste Martinez Zogo ont mis en lumière un scénario macabre. Suivi pendant trois mois, Zogo aurait été enlevé par la DGRE sur ordre de Justin Danwe, réagissant ainsi aux révélations explosives de Zogo sur les lignes 94, 65 et 57. Amougou Belinga est identifié comme le commanditaire, et les membres du premier commando avouent des tortures d'une brutalité extrême, incluant l'enfoncement d'un bâton dans son derrière.
Jeune Afrique a levé le voile sur le rapport d'autopsie de Martinez Zogo, exposant des détails horribles et révélant l'implication d'un second commando. Les conclusions du rapport décrivent des actes de torture extrêmes, dont l'enfoncement du bâton, mettant sa vie en danger par le risque de péritonite.
Les experts médicaux soulignent la gravité des sévices, jetant une lumière inquiétante sur sa mort tragique. Malgré cela, au tribunal militaire, le juge Oyono Ebessa Prosper modifie les chefs d'accusation, passant d'"assassinat, complicité d'assassinat" à "torture et complicité de torture par aide". Cette révision soulève des interrogations sur la qualification judiciaire, suscitant des spéculations sur les circonstances réelles de la mort de Zogo.
Cette révélation apporte une nouvelle dimension à l'affaire, pointant du doigt l'implication d'un second commando. Les implications dépassent l'horreur physique, soulevant des interrogations sur la nature des enquêtes et la nécessité d'une transparence totale dans la quête de justice pour Martinez Zogo.
Le rapport d'autopsie, avec ses détails poignants, ravive l'indignation publique et souligne l'importance cruciale de faire toute la lumière sur cette tragédie, marquée par des actes inhumains et une quête de justice complexe et cruciale. La présence d'un second commando souligne l'ampleur du complot, suscitant une demande pressante de clarté et de responsabilité.