A quelques jours de l’échéance de 06 mois de détention préventive pour les personnes suspectées dans l’affaire Martinez Zogo, la température est brusquement remontée d’un cran sur les réseaux sociaux. Et comme toujours, on abreuve l’opinion des clameurs et autres manipulations , les unes aussi grossières que les autres. Au centre, une même personne : Jean Pierre AMOUGOU BELINGA. Le même acteur: Reporter Sans Frontières.

Cette fois, l’ONG comme pour éviter de se dédire revient avec les mêmes fictions ( immeuble Ekang, tenue militaire avec tâche de sang, Pajero…). Ensuite RSF se cherche une porte de sortie et évoque un autre commando, avance la thèse d’une correction qui devait être infligée à Martinez…). RSF évite soigneusement d’évoquer le nom du patron de la DGRE ( qui est décidé à laver son honneur ternir par RSF dans sa première sortie).

Dans tous les cas, on peut valablement constater qu’une main noire essaie de gonfler à bloc l’opinion contre le Pdg du groupe l’Anecdote aujourd’hui incarcéré à la Prison centrale de Yaoundé : On a commencé par apprendre que les proches de AMOUGOU BELINGA fêtent sa libération prochaine, ensuite cet audio de Martinez, et depuis quelques heures, une sordide affaire de mœurs impliquant le Zomlo’o en prison…

"Tout est encore orchestré pour noircir notre patron. On l’avait déjà oublié, on l’avait déjà laissé tranquille depuis quelques mois. » Se désole un employé du groupe l’Anecdote".

Le problème de AMOUGOU BELINGA est ailleurs. L’affaire Zogo n’est qu’une couverture. Et il se peut que la vérité a déjà été découverte. Attendons la suite… » Conclut une source, tout en nous rappelant que l’affaire est entre les mains d’un magistrat militaire réputé qui ne cède pas à l’intimidation.
Affaire à suivre.