Le ministre des Relations extérieures du Cameroun, Monsieur Mbella Mbella exige au Quai D’Orsay, la restitution de Norelisse aux autorités Camerounaises à Paris, dans un délai prompt.

Cette affaire, qui paraissait banale, vient mettre en lumière un vaste réseau de trafic des ressortissants Camerounais enfants comme adultes dans ce territoire.
Des placements d’enfants à l’aide sociale à l’enfance où ils sont mis de force en psychiatrie, comme Norelisse, séquestrée et dopée, au centre de victimologie pour mineur de l’hôpital Trousseau à Paris, sans l’accord de ses parents madame NDO Amie Michelle et Monsieur Fokouaban.

Des mises sous curatelle forcée des adultes, sans oublier les tentatives de faire taire les parents, le cas espèce de Madame Ndo interpellée dans des conditions inhumaines le 26 novembre 2024 devant l’Ambassade du Cameroun en France, alors qu’elle réclame juste sa fille Norelisse. Tout cela sans respecter des procédures judiciaires dans un État «de droit» comme la France.

Selon nos sources au sein de l'aide sociale à l'enfance, on compte une centaine de camerounais victimes de cette mafia interne dans cette structure.
Ce qui n'est pas le cas dans d'autres pays européens comme l'Allemagne, la Belgique, la Suisse, etc. Où les camerounais sont fortement présents. Si les Camerounais se comportaient aussi mal, pourquoi ne sont-ils pas victimes du même traitement ailleurs, comme en France ?

Cette situation soulève une question fondamentale : quelles sont les réelles motivations derrière cette pseudo protection imposée aux étrangers, et plus particulièrement aux Camerounais en France, avec le silence complice de l’Ambassade du Cameroun à Paris sous la houlette du Grand Maître Ekoumou ?