Dans le tumulte de l'affaire Optimum Travel, un investisseur, préférant rester anonyme, brise le silence et présente une version des faits qui s'oppose catégoriquement à celle d'Ulrich Nguegang. Les allégations de cet investisseur remettent en question la crédibilité de l'entrepreneur qui se présente comme la victime principale de cette affaire.

Selon ce témoignage troublant, Ulrich Nguegang aurait détourné les fonds collectés auprès des souscripteurs pour financer un style de vie luxueux, au lieu de les consacrer au projet Optimum Travel. Les reproches s'étendent également à l'embauche d'une responsable de la société AOC, en charge de l'étude du projet, par Nguegang, ce qui aurait compromis les perspectives de financement.

L'investisseur frustré soulève plusieurs incohérences et zones d'ombre dans la narration d'Ulrich Nguegang. Ces accusations remettent en question le rôle de victime que ce dernier s'attribue et appellent à une transparence accrue de sa part.

La confrontation de ces deux récits contradictoires complexifie l'analyse de l'affaire. Toutefois, il est indéniable que des pratiques douteuses sont à l'œuvre. La nécessité d'une enquête approfondie par les autorités judiciaires devient impérative pour établir la vérité et déterminer les responsabilités dans ce dossier complexe d'Optimum Travel.