Actualités of Tuesday, 1 February 2022

Source: www.camerounweb.com

Affaire TKC : Samuel Eto'o exige le respect des textes.

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• Depuis 4 ans aujourd'hui, le Tonnerre Kalara Club de Yaoundé est au bord d'une crise pour le contrôle du club


• Le président Essomba Many qui a été suspendu pour une durée de 5 ans par la ligue départementale du football du Mfoundi refuse de se plier à la décision


• Samuel Eto'o Fils, le président de la Fecafoot exige le respect des décisions et de texte


Comme il est de tradition, le début de saison dans le tonnerre KALARA CLUB est agité par la bataille des entités qui veulent contrôler le club sans partage.

Le club mythique du quartier Mvog Ada risque se livrer en spectacle une fois de plus.
Depuis l'arrivée du football professionnel au Cameroun, Tonnerre est géré en fonction de l'organisateur du championnat.
La section société anonyme à objet sportif ( SAOS) ou par l'association sportive professionnelle d'un côté.
Depuis la dernière montée par la SAOS en 2019, l'équipe a été récupérée par l'association fort de la suspension de la ligue de football professionnel.
Cette entité a géré pendant deux saisons avec un bilan plus que négatif. Deux descentes en division inférieure et chaque fois le club bénéficie d'une décision administrative.
Depuis la victoire de Samuel Eto'o le 11 décembre dernier, la météo est défavorable à l'association TKC dirigée par Essomba Many. Contrairement à la fecafoot sous Seidou Mbombo Njoya, la nouvelle gestion de la fecafoot semble opter pour le respect des textes.
En effet l'entité commerciale du TKC a par le canal des correspondances informé l'instance faîtière du football sur la situation réelle du club.
C'est ainsi que le président de la fecafoot aurait instruit le directeur de développement de football afin de rétablir l'ordre à défaut d'une conciliation des parties.
L'arme fatale de la SAOS c'est la suspension du Sieur Essomba Many qui date de novembre 2018. Cette suspension n'a jamais été respectée car l'actuel directeur de l'hôpital de Ngoumou bénéficiait de la protection de l'exécutif dirigé par Seidou Njoya.

Affaire à suivre.