Actualités of Friday, 25 February 2022

Source: www.camerounweb.com

Ailleurs les présidents sont fiers de leur stade construit, au Cameroun, on est fier d’avoir 110 prisonniers d’opinion’

Il exige du régime Biya la libération de tous les prisonniers politiques. Il exige du régime Biya la libération de tous les prisonniers politiques.

Mamadou Mota, le premier vice-président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) exige du régime Biya la libération de tous les prisonniers politiques.

Premier vice-président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC), Mamadou Mota a repris avec ses sorties en rapport avec la situation des détenus qu’ils appellent « prisonniers politiques ». Dans une récente sortie faite sur sa page Facebook, il appelle à la libération de ces derniers.
Sur sa page Facebook, le cadre du MRC a écrit : « ailleurs les présidents sont fiers de leur stade construits dans un temps court et à un prix abordable. Au Cameroun, on est fier d’avoir 110 prisonniers d’opinion, preuve de la superpuissance, 2000 détenus anglophones, preuve de l’intransigeance selon l’acteur. Nous exigeons la libération des détenus politiques, le combat politique en instrumentalisant les institutions est une pratique de caverne et n’honore pas la civilisation humaine qui a fait un saut qualitatif au cours de ces 10 dernières années».

Cette sortie de l’homme politique coïncide avec la décision de son parti politique de renouer avec les débats médiatiques. Rappelons que c’est à la suite d’un verdict que des dirigeants du MRC ont été condamnés à 7 ans de prison. Me Emmanuel Simh, 3e vice-président du parti a évoqué le cas de leurs militants incarcérés en conférence de presse ce 24 février 2022.
Le 3ème vice-président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC), Me Emmanuel Simh va déclarer au cours de cette conférence de presse que : « les militants du Mrc sont d’authentiques prisonniers politiques. Ils ont été jugés et condamnés principalement pour l’infraction de révolution, à laquelle l’on a subordonné, pour faire impression, celles de rébellion, attroupement et défaut de carte nationale d’identité ».