Actualités of Wednesday, 28 June 2023

Source: www.camerounweb.com

Alerte : un élément de la grade de Biya poignardé à mort

Les causes de l'attaque ne sont  pas élucidées Les causes de l'attaque ne sont pas élucidées

Les Camerounais sont sous le choc après la publication sur les réseaux des images d’un élément de la garde présidentielle décédé. Selon les premières informations il s’agit du sergent-chef Metomo. Il serait poignardé à mort par un individu présenté comme un bandit à en croire N’zui Manto.

« Le S/chef Metomo classe 2011 en poste à la garde présidentielle a succombé à ses blessures ce soir,mortellement poignardé par un individu qui serait un bandit selon les premières sources . Les faits ont eu lieu au quartier Mini ferme . Nul ne sait pour l’instant s’il s’agit d’un règlement de comptes où d’un énième crapuleux crime », rapporte le lanceur d’alerte.

Les crimes de sang sont récurrents au Cameroun plus président à Yaoundé. Plusieurs hommes en uniformes ont perdu la vie de manière étranges depuis le début de l’année.

Aristide KOLDING

L’adjudant-chef Aristide KOLDING par mauvaise manipulation, se serait tiré une balle dans la poitrine début juin 2023. L'attitude étrange de ce militaire de haut rang interroge plusieurs journalistes. En effet selon plusieurs sources, tous les camarades du militaire n'ont pas compris son geste quand il a sorti son arme de service. Ils ont été encore plus choqués quand celui-ci a pointé l'arme vers sa poitrine avant de commencer par la manipuler.

« Très intrigué, toujours selon la même source, un de ses frères d'armes lui demande ce qui ne va pas, et l'adjudant chef Aristide KOLDING répond qu'il veut nettoyer son arme. Seulement, il dirige curieusement son pistolet automatique vers sa poitrine ; ce qui intrigue et effraie même encore ses homologues qui ne comprennent pas ce qui se passe avec leur camarade. " Gars, qu'est-ce que tu fais comme ça avec l'arme", lui demandent presqu'en chœur, les autres commandants de brigade. À peine ont-ils terminé leur interrogation, que le coup de feu était déjà parti, et frappé le jeune sous-officier supérieur en pleine poitrine », rapporte Camer.Be.

Après son acte, l'adjudant chef Aristide KOLDING a appelé à l’aide remettant en cause tout projet de suicide. « Amène- moi à l'hôpital »,a-t-il lancé avant de rendre l’âme. Pour plusieurs analystes, cette phrase est la preuve que le militaire n’a jamais voulu se donner la mort.