Le pasteur pentecôtiste Franklin Afanwi Ndifor, candidat à l’élection présidentielle du 07 octobre prochain se montre très préoccupé par la crise sociopolitique qui, depuis près de deux ans fragilise les régions du Sud-ouest et du Nord-Ouest

Le jeune leader politique investi par Mouvement citoyen national du Cameroun (Mcnc) pour l’élection présidentielle du 7 octobre salue l’initiative du cardinal Tumi en vue d’un retour à la paix dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. «Nous sommes pour un dialogue inclusif entre Camerounais d’une part, et entre Camerounais anglophones d’autre part. Pour faire cesser les violences et les tueries enregistrées de part et d’autre, il faut absolument que tous les acteurs de cette crise se parlent en se mettant sur une même table. Il faut donc libérer tous ceux qui sont dans les prisons. Le cardinal Tumi a effectivement raison d’insister sur ce préalable », soutient-il dans un entretien accordé à nos confrères de africa.la-croix.com.

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Le prophète de 39 ans, dit avoir reçu un « appel de Dieu ». Malgré une expérience politique quasi nulle, il entend néanmoins tout mettre en œuvre pour créer un Cameroun nouveau. « Dieu m’a choisi pour soulager les souffrances de notre peuple », lance-t-il

Le fondateur de la Kinship International Ministries promet de libérer le Cameroun des jougs du tribalisme, du népotisme et des sectes qui entravent son essor économique et social

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Ndifor Afanwi Franklin est le moins connu des neuf candidats, il un ingénieur en informatique. Habitué des voyages à l’étranger, il promet également « digitaliser l’économie afin de rebuter le flux de l’argent qui entraine la corruption »