• Parfait Ayissi comment les malheurs d’Amougou Belinga
• Il crie à la sorcellerie
• Le journaliste évoque son avenir
L’ancien directeur général de Vision 4, Parfait Ayissi commente la situation tendue entre son ancien patron Amougou Belinga et la Direction générale des Impôts. Le journaliste au chômage depuis 2020, trouve injustifiée la somme de 30 milliards que le Groupe l’Anecdote est sommée de payer dans le cadre d’un redressement fiscal. Tout comme Bruno Bidjang, il dénonce une cabale contre Amougou Belinga et parle même de sorcellerie.
« Je suis désagréablement surpris par un tel chiffre astronomique. A ce que j'ai appris, ce redressement concerne le groupe l'Anecdote. C'est-à-dire, le journal hypnoyme, Satellite Fm et Vison 4. Et quand on sait que les médias font généralement dans le social, cette attitude du fisc me contraint à croire, sans hésitation, que derrière ce redressement se cache un dessein inavoué contre l'individu Jean Pierre Amougou Belinga. Et c'est bien dommage. Et en tant qu'africain parce que je ne parviens pas à me l'expliquer, je conclus simplement qu'il s'agit de la sorcellerie », déplore-t-il.
Parfait Ayissi a tenu a précisé que les médias du Zomloa des Zomloa constituent des outils de soutien de la politique de Paul Biya. Il rappelle au passage que Vision 4 a joué un important rôle dans la réélection de Paul Biya en 2018. Parfait Ayissi ne croit pas une seule seconde que son ancien patron serait un mauvais payeur. Amougou Belinga selon ses dires est respectueux des institutions de la République.
Interrogé sur ses ambitions de revenir à Vision 4 après tant d’éloge à son ancien maître, Parfait Ayissi a révélé au journal le Messager qu’il vise désormais une carrière à l’international après avoir fait ses preuves pendant 15 ans au sein du groupe l’Anecdote où il a pratiquement occupé tous les postes de prise de décision.
« Sur le plan social, avoir un patron comme M. Amougou Belinga c'est flatteur. Grâce au groupe l'Anecdote, j'ai fait le tour du monde, je connais presque tous les continents. Mon ambition aujourd'hui c'est d'aller voir ailleurs, de préférence à l'étranger où les portes semblent s'ouvrir à ma modeste personne. », explique le journaliste qui se fait appeler affectueusement « Perfecto ».