Le seul crime de Macheula Béatrice epse Tchiengang a été d'aimer son mari, de l'épouser et de prendre soin de lui jusqu'à sa mort en 2023. M. Tchiengang Jean était un homme d'affaires qui a décidé de prendre 2 femmes pour épouse. À savoir la première Tchikamen Louise epse Tchiengang et la seconde Macheula Béatrice epse Tchiengang. La première avait abandonné le foyer conjugale pendant plus de 10 ans avant d'y revenir retourner. À la mort de M. Tchiengang Jean le 4 janvier 2023, cette dernière décide de pourrir la vie à la seconde en la trainant devant les tribunaux pour "acte de mariage illégal etc», ceci pour l'écarter du partage de l'héritage laissé par l'homme.
Elle estime que l'acte de mariage que son defunt mari avait signé avec la deuxième femme présente des irrégularités. Une curiosité qui surprend de nombreuses personnes puisque toutes sont mariées sous le régime polygamique. Le vendredi 2 juin 2023, un mandat d'amener sera décerné contre dame Macheula epse Tchiengang. Ce même vendredi, elle sera arrêtée par les gendarmes et gardée à la brigade de gendarmerie de Ndogbat pendant 5 jours, puis transféré à la police judiciaire de Bonanjo. Libérée sous garant, soit disant pour permettre aux enquêteurs de finir leur enquête, elle sera a nouveau arrêtée, gardée au parquet de Ndokotti, ensuite au commissariat de Logbaba, et au parquet du Tribunal de grande instance de Bonanjo.
Suite aux nombreuses dénonciations que nous avons faites sur la toile avec votre concours, Dame Veuve Tchiengang a été finalement libérée hier soir aux environs de 18h. La premiere audience est fixée à ce mardi 1 er août 2023.
Contrairement aux accusations et déclarations de la première femme, Me Éric Choupe, l'avocat de feu Tchiengang nous a confié que deuxieme femme qui est aujourdhui poursuivie a fait 30 ans de vie avec le defunt depuis leur mariage en 1993. Ils habitent tous pratiquement dans un immeuble qu'il a pris le soins de compartimenté en deux.
D'autres sources proches de la famille nous révèlent que avant de rendre l'âme le 4 Janvier de cette année, M. Tchiengang a fait deux mois sous assistance respiratoire à l'hôpital Laquintinie à Douala et seule Dame Macheula était presente à son chevet. À son décès, la premiere épouse saisit le Tribunal de Premiere lnstanxe de Douala-Bonanjo pour avoir le corps mais elle a été déboutée par la justice. Elle a intenté des actions même chez le Sous-prefet de Douala 5 ème mais elle a été éconduite.
Le parquet du Tribunal de grande instance de Douala après enquête a estimé qu'en dépit de quelques irrégularités causés par l'officier d'État civil lors de l'établissement de l'acte qu'il ne s'agissait pas d'un faux acte de mariage. Quoi que la deuxieme femme ait pu retrouver sa liberté hier soir, il n'en demeure pas moins qu'une autre procedure pour blessures est en cours a la Police Judiciaire avec les mêmes instructions, <
Macheula Béatrice epse Tchiengang est aujourdhui désemparée et ne sait plus à quel saint se vouer, car son seul crime c'est d'avoir épouser Sieur Tchiengang Jean.
Ses enfants qui n'ont pas encore fini de pleurer leur père sont aujourdhui en larme et en perdition lorsqu'ils voient leur mère s'amaigrir au quotidien du fait des multiples procédures engagées contre elle dans l'optique de l'écarter de la succession.