Cette question dérange l’esprit des camerounais. Dieunedort KAMDEM en séjour au Canada, est persécuté par des détracteurs tapis dans l’ombre.
Cinq mois après son départ du Cameroun, pour des raisons d’évangélisation, un article du journaliste français Camille GARNIER, paru la semaine dernière dans les colonnes d’un journal canadien, présente le pasteur comme un fugitif par rapport aux actes ignobles et répréhensibles commis par l’entreprise GESEM FOREX EXCHANGE.
Manipulation stratégique
A la lecture de ce texte, une pluie d’irrégularités et d’incohérences sautant aux yeux. Et de ce fait, décidons de ne rien cacher et de ne rien dire pour nuire. « Il s’avère aujourd’hui avec la pertinence la plus dogmatique que la victime incriminée autant que d’autres pasteurs se sont faits arnaqués par un groupe d’individus basés en côte d’ivoire et agissant sous la plateforme GESEM, leur faisant miroiter la réussite via l’épargne », soutient une source proche de cette affaire. Les contrats y relatifs, souligne-t-on, peuvent en témoigner. « Toute chose qui porte à croire que M. Kamdem est loin d’être un membre de ce groupe d’arnaqueurs.
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La justice est saisie…
Nos investigations nous permettrons aussi de savoir que l’évangéliste a déposé des plaintes en bonne et due forme dans des juridictions compétentes aussi bien au Cameroun qu’en côte d’ivoire », dénonce-t-on dans les milieux des pasteurs. Reste que ces plaintes sont malheureusement restées jusqu’à ce jour lettres mortes. « Il est à se demander si les politiques ne sont pas camouflés derrière cette cabale de déstabilisation, conséquence de son refus obstiné de pactiser avec certaines personnalités du système », peut-on conclure.
L’opinion connait la verve avec laquelle Dieunedort Kamdem est saboté dans les réseaux sociaux, et s’exprime sur des sujets d’actualité, en dénonçant certaines tares de la société, mais l’objectivité et le bon sens voudraient qu’on dise la vérité et rien que la vérité, d’où l’importance de ces questions. Pourquoi aucun média n’a relayé l’information selon laquelle M. Kamdem a déposé des plaintes contres ces arnaqueurs dont les principaux responsables méditent actuellement leur sort à la maison d’arrêt de Macca en Côte d’ivoire ?
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Pourquoi même que Canada l’homme de Dieu continu à être la cible des individus qui agissent à visage couvert ? Quel crime a-t-il commis pour être harcelé de la sorte ?
Quel peut être l’agenda caché d’un pareil article qui va aux antipodes de la réalité ? Qui se cache derrière cet article dénué de toute cohérence ? Enfin, qui en veut tant au pasteur et pourquoi ? Des interrogations qui s’éclairciront certainement avec le temps.
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Selon des sources concordantes, l’homme d’Eglise aurait subi des menaces physiques et anonymes à cause de son franc-parler et de ses homélies qui mettent parfois à mal la classe dirigeante du Cameroun. A chaque fois que l’occasion lui est donnée, il ne manque pas de fustiger les fléaux qui gangrènent le pays, les détournements de fond, les crimes rituels, la corruption et autres. Cette posture de moralisateur lui vaut des menaces de toutes parts.
A quand son retour ?
Une chose est sure, nous ne saurions justifier son long séjour en hexagone mieux que lui. Nous ne saurions questionner sur ses déplacements ou encore sur la longueur de ses séjours. Il est à préciser que durant la période d’enquête, son conseil juridique nous a été d’un apport indéfectible en mettant à notre disposition toutes les informations nécessaires.
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Lesdites enquêtes qui nous ont permis de découvrir que contrairement à ce que pense l’opinion, M. Kamdem n’est qu’une victime dont les faussaires ont usé et abusé de la crédibilité et de la notoriété qu’on lui connait.
Le Cameroun et ses victimes
La suite de l’affaire nous a également amené à découvrir que la victime a elle aussi investi de son argent dans cette foireuse idée. En attendant l’épilogue de ce feuilleton, il est à préciser qu’une équipe d’avocats et d’huissiers a été mise sur pied sous l’égide de « l’association Justice Cameroun » dans le but d’établir une courroie entre les victimes et la justice ivoirienne et camerounaise. Une collaboration qui a d’ailleurs abouti à l’arrestation des responsables de GESEM.
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