Le gardien de but international camerounais, André Onana, vient d’ajouter une nouvelle récompense à son palmarès. Au-delà de ses prouesses sur le terrain, c'est son engagement à travers la Fondation Onana qui a été salué. L'athlète, toujours aussi humble, a tenu à exprimer sa gratitude pour le soutien reçu tout au long de son parcours.

« Je n’ai jamais oublié l’aide que j’ai reçue tout au long de mon parcours », a déclaré Onana, visiblement ému. « Quand j’étais au plus bas, ils m’ont tendu la main pour que je me relève. À l’égard de ces gens qui m’ont soutenu, les grands frères, je ressens cette responsabilité de donner en retour et d’aider les autres. »

La Fondation Onana, qui œuvre pour soutenir les communautés vulnérables, ne cesse de gagner en visibilité et en impact. Le gardien de Manchester United et des Lions Indomptables du Cameroun a révélé des discussions en cours avec les Nations Unies pour d'éventuelles collaborations, renforçant ainsi l'ambition de sa fondation à l'échelle mondiale.

« Je suis très fier du travail que nous effectuons avec la Fondation Onana et reconnaissant envers ceux qui nous aident à rendre ça possible », a-t-il ajouté. En remerciant la FIFPro pour cette reconnaissance, Onana a également salué le soutien du SYNAFOC, le Syndicat national des footballeurs du Cameroun, qui accompagne de nombreux projets en faveur des athlètes et des jeunes talents.

L’objectif, selon Onana, est clair : « Le but est d’aider le plus de personnes possible dans le monde. » Par cette nouvelle distinction, André Onana confirme que son engagement va bien au-delà du sport, faisant de lui une figure inspirante, non seulement sur le terrain, mais également dans la lutte pour un avenir meilleur pour tous.

Voici l'intégralité de sa réaction :

« Je n’ai jamais oublié l’aide que j’ai reçu tout au long de mon parcours. Quand j’étais au plus bas, ils m’ont tendu la main pour que je me relève. À l’égard de ces gens qui m’ont soutenu, les grands frères, je ressens cette responsabilité de donner en retour et d’aider les autres […] Nous échangeons avec les Nations Unies pour d’éventuelles collaborations. Je suis très fier du travail que nous effectuons (avec la Fondation Onana, ndlr) et reconnaissant envers ceux qui nous aident à rendre ça possible. Je tiens à remercier la FIFPro pour cette reconnaissance pour ma fondation mais aussi le SYNAFOC au Cameroun. Le but est d’aider le plus de personnes possibles dans le monde ».