Face aux attaques qu’il a souvent subies à travers les réseaux sociaux le patron de la division de la communication du ministère en charge de la défense réagit.

Ci-dessous l’intégralité de sa réaction sur sa page officielle Facebook:

Gagnons cette guerre des réseaux sociaux. Je ne me lasserai pas, ni de répondre, ni de démontrer le professionnalisme de nos Forces. C'est mon rôle "assurer la promotion de l'image des Forces de Défense".

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Des activistes et influenceurs, dont certains ont plusieurs pseudonymes, prenant même des noms à consonance de la Région du Centre, comme pour démontrer un ras-le-bol général de l'opinion nationale, m'invectivent, m'insultent. Si c'était le contraire, c'est que je n'aurai rien à faire dans cette fonction... on juge d'ailleurs de l'importance d'un individu par le nombre de ses ennemis.

Ces activistes et influenceurs, ils habitent où, quelle est leur carte d'identité nationale? La clandestinité? Mais que valent leurs imbécilités devant le devoir national et patriotique? Moi, je suis le Colonel Badjeck, je ne vis pas dans la clandestinité, si quelqu'un a de la trempe, qu'il me rencontre, sur tous les terrains possibles en n'oubliant jamais que nul n'a le monopole de la violence, et qu'en chacun de nous, sommeille un esprit grégaire.

Certains me menacent de mort, mon téléphone est criblé de ce genre de message. Je serai un martyr, mais je mourrai les armes à la main, dénonçant tant bien que faire se peut, la manipulation et la désinformation contre une armée qui depuis 5 ans maintenant, sacrifie sa jeunesse pour la défense de la liberté et de l'intégrité territoriale. Vous avez vos idées, j'ai les miennes.

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Vous qui parlez au nom des libertés dont vous vous réclamez et prétendez en être les seuls défenseurs et mieux outillés que quiconque, respectez donc les argumentaires des autres qui ont aussi un droit à s'exprimer. Non, vous ne pouvez pas, vous n'oppose que de la violence, vous êtes les premiers fossoyeurs de la liberté et de la démocratie. C'est pour cela que vous soutenez le terrorisme et fuyez les terrains conventionnels de débat.