Actualités of Friday, 12 August 2022

Source: www.camerounweb.com

Arnaque : Raoul Nzoyoum disparaît avec plus d’un milliard de ses souscripteurs, les victimes inconsolables

Raoul Nzoyoum Raoul Nzoyoum

Depuis 2018, le Domaine agricole et d’élevage la Ferme bio Ranzo ( FBR ) produit des fruits, légumes, poissons et viandes frais de haute qualité. Installé sur 200 hectares avec une surface active de 120 hectares, ce domaine est l’un des plus grands du Cameroun. Même si son expansion et sa formalisation ne sont effectifs que depuis 2018, il n’aura pas fallu longtemps pour que la FBR se positionne comme l’un des leaders camerounais sur le marché de l’agroalimentaire. Mais entre-temps, le projet est tourné en fiasco.

Selon Shance Lion, le promoteur s’est volatilisé avec 1 milliard des souscripteurs. « En effet le promoteur de O'porc, s'est volatilisé avec les fonds de plus d'un milliard, que des souscripteurs ont investi dans son projet de Ferme BIO RANZO; via deux sociétés de CROWDFUNDING que sont Africa Crowdfunding et GEC. Raoul Nzoyoum est le fils de L'ambassadeur du Cameroun en RCA depuis 2014, Son Excellence Monsieur Nicolas Nzoyoum qui lui-même avait schématisé l'homme d'affaires Jean Pierre Amougou Belinga, ce qui nous avait donné droit, à l'écoute d'une série de voice dans lesquels, L'homme D'affaires, demandait à monsieur L'ambassadeur, s'il avait déjà mis pieds dans un Jet Privé. Les souscripteurs ont déposé une plainte, auprès du Tribunal de Grande Instance », a révélé Shance Lion


« Avec un investissement privé, ce domaine a réussi à se conformer aux normes internationales pour assurer une qualité supérieure à sa production. Sous la gestion de son jeune PDG, Docteur Raoul, le domaine aux allures de ferme américaine veut relever le défi de la modernité agricole.A partir de 2019, la Ferme Bio Ranzo grâce à ses activités diversifiée commence à convoiter les certifications (GAP et TESCO ; en cours d’obtention ) pour sa bonne pratique de l’agriculture et d’élevage . Ces certifications lui permettront alors de se mettre au diapason des normes internationales en matière de produits agricoles et d’élevages ; surtout de vendre ses cultures dans les pays européens », détaille le site de la structure