Tout indique maintenant que le pire est arrivé au journaliste camerounais Martinez Zogo ainsi que sa famille qui avait déjà commencé par envisager le deuil. L’homme de média a été assassiné comme on le craignait ces dernières heures.

Les criminels en col blanc qui se prennent pour des barons intouchables dans le pays ont encore éliminé de sang-froid un homme qui ne faisait que son travail, celui de rendre la société meilleure pour tous.

Martinez Zogo a été enlevé il y a plusieurs jours. Le journaliste n’a plus refait surface, laissant sa famille inquiète.

Beaucoup de médias ont dénoncé ce nouvel acte barbare et réclamé que le gouvernement s’implique rapidement dans l’affaire pour retrouver Martinez Zogo.

Malgré tous les efforts, on apprend ce matin que l’homme n’est plus en vie. Des images exclusives que nous avons reçues d’un de nos confrères laissent voir le corps de Martinez Zogo dans un état de décomposition avancée.

« Urgent ! Corps retrouvé en décomposition avancée et visiblement torturé au lieudit Ebogo 3 / Soa », a écrit le lanceur d’alerte dont nous tenons l’information.

« Martinez Zogo a été assassiné », continue-t-il. Il explique que « c'est une information que j'ai reçue en exclusivité depuis hier (samedi le 21 janvier 2023,ndlr) très tôt mais j'ai refusé d'accepter dans ma conscience ».

C’est donc tout naturellement que « j'en ai discuté avec son épouse Diane, certains membres de sa famille et le Dr Fridolin Nke. Jusqu'à ce que je vois le corps, ils ont osé tué Martinez Zogo ».

Par la suite, « son corps a été retrouvé en décomposition avancée et visiblement torturé au lieu-dit Ebogo 3 / Soa ».

Le journaliste a eu plusieurs alertes chaudes qui lui font croire que ces hommes qui en ont eu après Martinez Zogo veulent aussi lui faire la peau.

« Je suis là prochaine victime de ses tortionnaires. J'interpelle les autorités camerounaises de me protéger. Je prends ainsi l'opinion publique à témoin », affirme le journaliste Paul Chouta qui a antérieurement été victime de coups et blessures graves des personnes qui étaient visiblement dérangées par la profondeur de son travail.