« Un soldat du BIR poignarde à mort son ami et disparaît dans la nature. La victime Njumpou s'était opposé à son bourreau alors que ce dernier armé d'un couteau semait la terreur au quartier. L'assassin va retourner son couteau contre la victime qui est également son ami puisque Njumpou l'hébergeait dans son domicile. "Popito" comme se fait surnommer l''assassin a disparu après son acte », a posté Nzui Manto
Le meurtre de Njumpou , perpétré par un soldat du Bataillon d'Intervention Rapide (BIR) dans la ville de Bafoussam, a suscité une vive émotion dans la communauté locale. La victime, qui hébergeait son meurtrier chez lui, avait essayé de l'empêcher de semer la terreur dans le quartier en s'opposant à lui alors qu'il était armé d'un couteau. C'est à ce moment-là que l'assassin a retourné son arme contre son ami, lui portant plusieurs coups mortels.
Selon des témoins oculaires, l'assassin a pris la fuite après son acte et n'a pas été retrouvé depuis. La police a ouvert une enquête pour retrouver le soldat du BIR et le traduire en justice pour son crime.
Ce n'est pas la première fois qu'un membre des forces de sécurité camerounaises est impliqué dans un acte criminel. Ces incidents mettent en lumière la nécessité d'une formation adéquate et de la responsabilisation des membres des forces de sécurité pour assurer la sécurité et la protection des citoyens.
Les familles et les proches de la victime Njumpou sont en deuil et appellent à la justice pour que l'assassin soit arrêté et puni pour son acte criminel. Ils espèrent également que des mesures seront prises pour éviter que de tels incidents ne se reproduisent à l'avenir.
En outre, cet incident souligne l'importance d'améliorer les conditions de vie et de travail des membres des forces de sécurité. Les militaires doivent être correctement formés et équipés pour faire face à des situations difficiles tout en assurant leur propre sécurité et celle des citoyens. Les autorités doivent veiller à ce que des ressources adéquates soient allouées pour garantir la sécurité et le bien-être de tous les membres des forces de sécurité.