Une vague de panique s'empare de la commune de Limbe, généralement calme et paisible, après l'incendie d'un camion de distribution de bière appartenant à la brasserie "brasseries du Cameroun" à un endroit appelé "checkpoint".

L'incident qui a déclenché une vague de panique et de peur dans la municipalité de Limbe s'est produit samedi 14 Juillet, à 16h. On ne sait toujours pas exactement ce qui a réellement déclenché l'incendie du camion, mais des témoins oculaires rapportent que des individus non identifiés se sont rassemblés autour du camion qui avait commencé commencé à lancer des verres.

Lorsque le conducteur du camion a protesté, il a été brûlé. Personne ne peut dire qui ils étaient, mais dès que les gens ont vu des flammes sortir du camion, c'est alors que la panique a commencé. Alors que les nouvelles de l'incident se répandaient dans toute la ville et sur les réseaux sociaux, des individus malveillants ont commencé à blâmer les sécessionnistes. Comme prévu, cette nouvelle a circulé de bouches à oreilles et les gens ont commencé à appeler leurs proches pour qu'ils rentrent chez eux dès qu'ils le peuvent.

Les riverains ont commencé à fermer pourraient être vus en train de fermer leurs magasins, les commerçants du marché ont paniqué en fermant leurs boutiques et sont retournés chez eux. En quelques minutes, tout était vide et nous n'avons vu que quelques pubs qui fonctionnaient encore et quelques clients qui demandaient encore à boire.

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Dans cette panique, une motocyclette commerciale (communément appelée «okada») est tombée dans un nid-de-poule au premier kilomètre et le conducteur et le passager ont subi de graves blessures. Heureusement pour eux, le pick-up ESIR est allé dans la direction opposée, en route vers l'intervention dans le mile 4, les a emmenés à l'hôpital. Au quatrième kilomètre, où le camion brûlait encore, les gens pillaient déjà la bière qu'il transportait. Grâce à l'intervention de la police, ils se sont finalement dispersés.

Conscient de la situation de sécurité, la région est confrontée, il y avait une haute sécurité autour de l'endroit et un barrage routier a été temporairement imposé, résultant en une densité de trafic avec des véhicules venant de Douala.

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Aucune voiture n'a pu entrer ou sortir de la ville pendant un moment tandis que les forces de sécurité ont recherché les auteurs. Cependant, dès que la situation était sous contrôle, le trafic était immédiatement rétabli. Quant aux «Braziers du Cameroun», la plupart de leurs camions ont été escortés jusqu'au commissariat central de Limbe pour des raisons de sécurité.

De retour en ville, les nouvelles qui avaient circulé plus tôt accusant les «sécessionnistes» se sont appaisées à mesure que la vérité devenait plus claire. Les gens ont été soulagés que ce ne sont que des rumeurs de personnes dont la seule intention est de déstabiliser la tranquillité de la municipalité. Les choses sont revenues à la normale dans la légendaire ville de Limbe. "