L’examen des différentes épreuves a commencé dans les établissements.
Lycée classique et moderne de Garoua. Il est 11 h, ce lundi 20 juin, lorsque le reporter de Cameroon Tribune est accueilli au secrétariat du baccalauréat de l’Enseignement général - session 2016 - par son responsable, en la personne de Mme Towa Aurelie, qu’assistait le chargé de mission auxiliaire, Souleymanou.
Quelques instants plus tard, au niveau des ateliers où ont lieu les corrections proprement dites, les examinateurs sont déjà à l’oeuvre. « Avant de procéder aux corrections, a tenu à clarifier le chef du secrétariat, il a fallu au préalable tenir la réunion d’harmonisation. Celle-ci a eu lieu le samedi 18 juin.
Elle a pour finalité de faire déplacer les correcteurs des localités environnantes pour le centre de correction du lycée classique et moderne, afin qu’ils se joignent à leurs collègues désignés, résidant à Garoua. Au terme de cette première assise, les correcteurs ont été repartis en ateliers et par discipline ; ce, sous la supervision d’un chef de salle par atelier ».
Dans «l’atelier de Chimie», logé au premier étage d’un des bâtiments, cinq correcteurs travaillent dans une ambiance studieuse et bon enfant. C’est à peine s’ils remarquent l’entrée du reporter de CT et du chargé de mission auxiliaire. Quelques échanges de civilités et ceux-ci se sont aussitôt après remis à l’œuvre.
A la question de savoir s’ils faisaient face à quelques éventuels problèmes, le chef du secrétariat évoquera le retard accusé par le démarrage des corrections du baccalauréat de l’Enseignement général qui, malheureusement, vont se chevaucher avec le déroulement du probatoire de l’Enseignement général qui démarre ce mardi 21 juin ; ce d’autant plus que ce sont les mêmes ressources humaines qui assureront la surveillance du probatoire.