Je suis mariée il y a 20 ans sous le régime monogamie. Mon mari et moi vivions sous le toit familiale juste à côté de sa mère. J'ai fait sa connaissance à l'église, il avait l'air très pieux, sans tenir compte de sa pauvreté, je l'ai accepté et j'ai mis de mes économies pour qu'on ait une célébration nuptiale pompeux.
Sans te mentir, sa famille n'a en rien contribué à cette cérémonie, déjà qu'il a perdu sa sœur cadette 30 jours seulement avant le mariage et sa famille a exigé qu'on annule le mariage, même pas qu'on le reporte. Mais déterminer à être avec lui, voilà pourquoi j'ai dû dépenser seule pour les trois cérémonies de mariage.
Mariée et vivant avec ma belle-mère, elle n'a jamais dit du bien de moi, malgré tous les efforts que je fournis pour l'honorer. Quand elle, ses filles ou ses fils m'empruntent de l'argent, je t'assure que je suis obligée de tourner la page parce qu'ils ne me le rendront jamais.
Les sœurs de mon mari l'ont encouragé à prendre une autre femme prétextant que je suis de Bafoussam car eux ils sont de Bapa. Il les a écoutées et aujourd'hui il a un enfant avec ma voisine qui vient de temps en temps dormir chez ma belle-mère.
J'ai saisi la justice pour obtenir le divorce puisque monsieur m'a quittée, il vit avec elle chez sa mère juste à côté de moi. Mais il me menace, me sommant de retirer ma plainte. J'ai accepté de retirer ma plainte s'il peut s'engager à ne plus me traumatiser avec ses multiples infidélités.
Au début, il était d'accord mais est revenu me dire que sa famille ne veut plus de moi. De mon couple sont issus trois enfants. Le procès passe demain, je suis dans l'embarras, je n'irai pas, je n'ai pas d'avocat, en plus je vis dans leur maison, lui et moi n'avons pas de maison et sa mère me chasse de quitter sa maison.
Je n'ai pas d'argent pour prendre un avocat, je ne sais pas s'il peut avoir des gens sincères, de bonnes foi pouvant de défendre. J'ai déjà fait constater son abandon de foyer par un huissier de justice. J'aime bien lire les histoires des autres, comme la roue tourne, c'est mon tour.
S'il vous plaît, donnez-moi vos conseils. Monsieur ne s'occupe ni de moi ni de nos enfants. Je sais que Dieu par vous mettra sur mon chemin des âmes de bonne volonté pour ce procès.