Fidèle soutien du chef de l'Etat, qu'il toujours défendu dans l'espace médiatique camerounais avec ses chaines de télévision, Amougou Bélinga se retrouve aujourd'hui abandonné par son cher président et les hommes les plus proches de lui.


Dans le sérail, très peu oseraient actuellement affirmer ouvertement leur soutien au PDG du groupe l'Anecdote, depuis qu'il a été arrêté dans le cadre de l'affaire Martinez Zogo. Après tout, on parle d'une affaire de meurtre qui a secoué le Cameroun, le continent africain et le monde entier.


L'homme "tout puissant" qui criait à qui veut l'entendre qu'il "n'a peur de personne", se retrouve impuissant, malgré toute l'énergie qu'il fournit, afin de se sortir de l'imbroglio judiciaire dans lequel il s'est retrouvé.


D'après des sources, Paul Biya ne bougera pas son petit doit pour sauver Jean Pierre Amougou Belinga. Il lui réserverait d'ailleurs, selon Fang Jules Effack, un sort à la Mendo Zé, l'ancien DG de la CRTV qui est mort en prison, après de nombreuses années de services rendus au président.


"Celui qui est ton soutien le plus loyal, est souvent Celui à qui tu accordes le moins d'attention ! C'est celui qui est ton opposant le plus farouche qui est l'objet de toute toutes tes faveurs à lui tu donnes tout au besoin tu sacrifies ton plus fidèle compagnon sûr l'autel de la recherche de ses faveurs…Jean Pierre Amougou Belinga Fidèle soutien de Paul Biya est aujourd'hui l'agneau sacrificiel comme Mendo Zé, avant lui on attend dans un silence effroyable que son sacrifice plaise à l'opposant, lui il ne pourra jamais être l'objet de l'attention dû prince pour ça il aurait dû être un opposant et puis sénateur est le cadeau de celui qui met sa télévision à la disposition des pourfendeurs de Paul Biya là-bas j'ai entendu des expressions comme satrape, dictateur, vieux jouisseur, momie etc. et il est sénateur de l'autre côté c'est le N'nom Ngui, le père de la nation Etc. et c'est direction Kondengui pour une histoire cousue de de Fil blanc et ils nous disent que c'est notre bruit dans les réseaux sociaux qui énervent en haut lieu et garde Amougou Belinga en prison et donc ce n'est pas une affaire de justice mais plutôt les humeurs de personnes en haut lieu SHAME", écrit l'activiste.