Actualités of Monday, 18 December 2017

Source: cameroon-info.net

Blessé à la tête, l’honorable Richard Wallang se retrouve avec une main opérée

Il est en observation médicale à l’hôpital central de Yaoundé après une opération de la main droite Il est en observation médicale à l’hôpital central de Yaoundé après une opération de la main droite

Une vidéo partagée sur les réseaux sociaux et reprise par des chaines de télévision, montre l’honorable Richard Wallang saignant abondamment de la tête après y avoir reçu un projectile.

Comment ce dernier, apparemment blessé à la tête, se retrouve avec une main opérée ? Une source de Cameroon-Info.Net a bien voulu partager avec nos lecteurs, les explications d’un élu du peuple postée dans un forum des députés camerounais.

«En principe, au moment où Tomaino Ndam NJOYA balançait ses armes blanches sur tous les Députés le jour du vote du budget, WALLANG en esquivant le projectile a placé sa main droite sur sa face, raison pour laquelle tous les collègues ont cru qu’il n’était blessé qu’au niveau de la tête or il avait été sérieusement touché dans la paume de sa main défensive. Emmené d’urgence à l’infirmerie de de l’Assemblée Nationale le même jour, les médecins ont cousu les deux endroits où le sang jaillissait sans toutefois savoir que les débris de chevalets n’étaient pas seulement enfouis sur sa tête mais aussi sur la main blessée. Après plusieurs jours de pansements des deux endroits, notre collègue se plaignait de sa main qui lui faisait très très mal toutes les fois que nous nous sommes retrouvés. C’est donc hier que ne pouvant plus supporter la douleur, nous l’avons évacué en urgence aux urgences de l’hôpital Central. C’est le lieu pour Nous de remercier le médecin chirurgien et ses collaborateurs qui ont insisté pour l’opération de cette main maligne hier soir. Et à notre grande surprise les débris de chevalets ainsi que le liquide cherchaient à amener notre collègue dans une situation très critique. L’opération s’est bien déroulée mais le médecin chirurgien a exigé que notre collègue reste à sa disposition minimum 10 jours pour comme nous le narrait l’Hon DISSAKE hier soir».

Chez les parlementaires comme sur la place publique, les débats ne cessent de s’enflammer autour du cas honorable Richard Wallang.