Actualités of Tuesday, 18 July 2023

Source: www.camerounweb.com

Breaking : la femme et le fils du recteur Aurélien Sosso interpellés pour faux diplôme

Affaire de faux diplôme à l'université de Yaoundé 1 Affaire de faux diplôme à l'université de Yaoundé 1

Un règlement de compte déguisé se déroule à l’université de Yaoundé 1 où le recteur Maurice Aurélien Sosso fait des pieds et des mains pour que Dr Fridolin Nke puisse justifier ses diplômes, lui qui est pourtant enseignant depuis des années maintenant. C’est une situation injuste qui ne laisse pas indifférent, comme on peut le remarquer ci-dessous avec l’épinglage des membres très proches de Maurice Aurélien Sosso qui eux, auraient des choses à prouver.

« Monsieur Maurice Aurélien Sosso, laissez Fridolin Nke tranquille ! Prenez-vous en à votre fils, Sosso Fritz Oswald Makembe et votre épouse Nkolo Asse Patience Ginette. Ce sont eux qui ont des profils alambiqués.

Monsieur le recteur Maurice Aurélien Sosso, je prends l'université de Liège à témoin et vous-mêmes, pour avoir reçu et reconnu authentique la thèse de doctorat/Ph-D de Fridolin Nke, soutenue publiquement à l'université de Liège, en Belgique. Donc, le Dr Fridolin Nke n'a aucun problème.

Par contre si problème il y en a et que vous n'en ignorez guère, c'est sous votre nez et barbe ! Rien que dans votre maison, deux éhontés profils alambiqués. (1) Votre fils, Sosso Fritz Oswald Makembe, titulaire d'une licence en biologie et d'un master professionnel en science de la santé avec la mention passable (10/20).

Vous l'avez, sans le moindre respect des textes ni honte, sélectionné en thèse de doctorat en science informatique, puis recruté au grade d'assistant sans thèse au département d'informatique de la faculté des sciences de l'université de Yaoundé 1. Plus grave encore, vous l'avez fait nommer directeur du Centre universitaire des technologies de l'information (CUTI) de toute l'université de Yaoundé 1 et il y exerce en toute quiétude.

En principe, et si l'on veut vraiment être rigoureux, le contrat de travail de ce pseudo enseignant devrait déjà être résilié pour incapacité à soutenir sa thèse de doctorat/Ph-D depuis 11 ans après sa sélection en thèse car, les textes réglementaires donnent au plus 08 ans. En lieu et place de Fridolin Nke, convoquez donc aussi un Conseil de discipline pour le grossier cas de forclusion de Sosso Fritz Oswald Makembe.

L'autre cas (2), notamment Nkolo Asse Patience Ginette épouse Sosso, aujourd'hui maîtresse de conférence est plus scandaleux pour la communauté universitaire. C'est l'extravagance même de la folie nombriliste et narcissique dans tout son rayonnement et sa splendeur. Elle est, tenez-vous tranquille, titulaire d'une licence en droit privé des affaires, d'un DEA en droit privé des affaires et d'un doctorat/PhD en science politique, mais recrutée en science de l'éducation à l'ENS de Yaoundé où elle passe au grade de chargé de cours en science de l'éducation.

Puis, elle est parachutée par je ne sais quelle alchimie au département de sociologie où elle passe au grade de maître de conférences en sociologie. Si ce n'est pas la sorcellerie, c'est donc quoi ? Vous-mêmes, un tel parcours professionnel ne vous effraie pas ? Moi si. J'ai même la chair de poule en décrivant un tel parcours. Dieu sauve l'université de Yaoundé 1 !

Je vous rappelle que Mme Nkolo Asse Patience Ginette, épouse Sosso, n'est même pas capable de relire et corriger une note de service. Pire, même son propre dossier de changement de grade elle n'en est pas capable de rassembler les pièces. Je ne parle pas d'un article scientifique qui est à des années-lumière de son niveau académique et encore moins de l'encadrement d'un mémoire ou d'une thèse de doctorat/Ph-D. Voilà des brouillons qui infectent l'université de Yaoundé 1 à cause du droit de cuissage.

Ce sont ces gens au profil alambiqué qui doivent passer au Conseil de discipline en vue d’une "résiliation de contrat de travail pour profil en non-conformité". Ce n'est pas Fridolin Nke. Non ! L'imposture a des limites, arrêtez vos bêtises Maurice Aurélien Sosso ! Laissez les enfants d'autrui tranquilles », propos signés Boris Bertolt.