Les pères de famille prêts à tout pour faire plaisir à leur conquête, il y en a maintenant assez. Communément appelés sugar daddy, ils ont la capacité financière et la volonté suffisante pour gâter les filles qui ont depuis longtemps pris goût à la pratique, abandonnant ainsi les jeunes pourtant réputés plus virils.

Coach Tata Myrah écrit sur les réseaux sociaux : « Il n'y a pas plus malhonnête qu'un sugar daddy qui construit sa deuxième maison ». Pourquoi le dit-elle ? Explication !

« Le gars part au chantier même avec 20 filles différentes que hooo ''bébé, c'est ici qu'on va rester, je vais laisser la sorcière là et ses enfants dans la première maison'' », creuse Myrah.

Elle continue en disant « et le technicien malhonnête aussi, à chaque fois il dit ''boss, c'est madame ici hein ?'', alors que c'est dans la maison principale chez la vraie femme, qu'il vient souvent prendre l'argent ».

« Jusqu'à on lui sert le machoiran avec le plantain mûr, il mange et pousse avec une bonne bière et il dit ''vous gardez bien monsieur hein, je comprends pourquoi quand une autre femme le regarde même seulement, il se fâche'' », termine-t-elle. En effet, tout ça a bien l'air très préparé avec beaucoup de complicité.

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