• La Coupe d’Afrique des Nations connaitra son premier coup de sifflet le 9 janvier prochain au Cameroun
• Vingt-quatre (24) équipes nationales sont à la conquête du prestigieux trophée
• Près de 3 milliards FCFA pour l'équipe championne
La Coupe d’Afrique des Nations connaitra son premier coup de sifflet le 9 janvier prochain au Cameroun. Ils sont au total vingt-quatre (24) équipes nationales à compétir pour le prestigieux titre de Champion d’Afrique.
Après les différentes phases du jeu qui s’annoncent très serrées, le vainqueur de la 33e édition de la CAN 2021 sera connu le 6 février prochain sur la pelouse du stade Olembe à Yaoundé. En attendant, que gagnent concrètement les vainqueurs de cette CAN 2021 ?
Selon Les-transferts.com, le grand vainqueur, Champion d’Afrique repart avec le trophée mis en jeu. Aussi, une somme de 4,4 millions d’euros sera-t-elle remise à la sélection gagnante.
Le deuxième finaliste repart quant à lui, avec 2,64 millions €. Le troisième et demi-finaliste empochent chacun 2,2 millions € puis 703.361 mille euros pour le quart de finaliste.
Un nouveau variant détecté à quelques jours de la compétition
A quelques jours de cette compétition internationale, un nouveau variant de souche camerounaise a été détecté. Une annonce qui pourrait fragiliser voire perturber la bonne tenue des matchs prévus.
Le nouveau variant COVID-19 a été détecté à l'IHU Méditerranée Infection, l’hôpital du controversé médecin Dr Didier Raoult, issu de patients de Forcalquier. Il a été baptisé variant IHU et déposé sur GISAID sous le nom de B.1.640.2.
« Ce variant, identifié par une étude soutenue par le gouvernement français qui n'a pas encore été évaluée par des pairs, serait d'origine camerounaise et semble présenter 46 nouvelles mutations ainsi que 37 délétions », indique i24News.
Cette découverte intervient au moment même où le variant Omicron continue de faire exploser le nombre de cas positifs de Covid-19. Les pays du monde entier misent beaucoup plus sur la vaccination pour contenir la flambée des cas et éviter surtout la paralysie économique.