Le journaliste web Michel Biem Tong a relayé la publication d’une autre figure sociale sur sa page avec le commentaire « merci pour ce témoignage ». Le message parle du président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) Samuel Eto'o Fils et des scandales qui éclatent à la tête de l’instance dirigeante du football.

La note dit : « Avant l'arrivée de Samuel Eto'o Fils à la présidence de la Fecafoot, les joueurs se plaignaient sans cesse, tous ici avons été témoins des scandales à répétition qui brisaient nos cœurs, nos joueurs étaient abandonnés à eux-mêmes.

Ils mangeaient le BBH (beignets, bouillie, haricot) de 250 francs avant les matchs, dormaient parfois à la belle étoile lors des championnats nationaux, le mépris, etc. Nous avions pitié pour ces enfants qui n'avaient qu'un rêve, faire carrière dans le football.

Encourager nos proches à devenir des footballeurs n'était pas du tout envisageable (tout comme le cinéma, le football c'était la galère) chose bizarre les présidents de clubs ne se plaignaient jamais, je dis bien jamais.

Mais depuis près de deux (02) ans, les joueurs de foot sont muets, ne se plaignent pas et les présidents des clubs quant à eux, yegueeh. Bref, le rythme est bon. PS : Mon cousin footballeur m'a invitée au restaurant dernièrement et a payé la note, le gars m'a dit grande sœur je peux déjà aussi t'inviter manger ».

Il est clair que l’autrice de ce message est un soutien du boss de la fédé Samuel Eto'o Fils, en tout cas elle est fière du travail que celui-ci abat en présidant le comité exécutif. Michel Biem Tong qui approuve son point de vue l’est aussi.

Lui il va plus loin en déclarant que les gens qui essayent de mettre les bâtons dans les roues de Samuel Eto'o Fils sont tapis au palais de Yaoundé, ils seraient du régime.

« N’allez pas chercher loin l’origine de la cabale contre Samuel Eto'o Fils : elle vient du palais d’Etoudi, plus précisément du narcotrafiquant futur président », écrit-il. On peut penser au fils du chef de l’État Emmanuel Franck Biya, mais également au SGPR Ferdinand Ngoh Ngoh.