L’affaire est tellement difficile à imaginer. Le citoyen a dépassé tous les niveaux alarmants de cruauté. Il s’est joué de plusieurs femmes qui ont attendu le bon moment pour monter au créneau et dénoncer les agissements du monsieur.

Le viol est commis par Cédric Nganmogue, puisque c’est de lui, dans des quartiers différents. Mais la pratique est souvent la même. Il se fait passer pour un recruteur, fait venir les femmes pour un soi-disant entretien et finit par les violer.

Le lanceur d’alerte N’zui Manto indique que treize (13) femmes, toutes des victimes du violeur en série Nganmogue Cédric, se sont rendues au groupement de gendarmerie à Yaoundé pour déposer des plaintes contre ce dernier.

Les récits, vraiment surréels les uns après les autres, exposent le visage d’un monstre prolifique dans l’exécution de ses opérations, nous communique-t-on.

On apprend également que trois (03) jeunes femmes dont deux (02) sœurs s’apprêtent à joindre leurs plaintes aux treize autres. « Elles n’oublieront jamais ce jour-là au quartier Bastos, dans un appartement où elles avaient été violées par le prédateur qui comme à l’accoutumée avait pris la fuite, les abandonnant à la merci du propriétaire », lit-on sur la page de la source susmentionnée.

Elle notifie que ce dernier (le propriétaire, ndlr), « réclamant son argent, avait alors conduit les 3 victimes au commissariat de Bastos où elles avaient été gardées à vue et contraintes de payer la location du logement ».