• Michel Biem Tong est dans le viseur des Ambazoniens

• Michel Biem Tong est accusé de travailler pour Yaoundé

• Atonfack Guemo lui prédit une fin peu enviable

Le journaliste en exil est en froid avec une partie des séparatistes ambazoniens qui l’accusent de servir le régime de Yaoundé. Une note a été rendue publique pour inviter les combattants sécessionnistes à ne pas collaborer avec celui qu’ils traitent désormais d’ « infiltré du régime ». Le journaliste en exil qui a consacré une bonne partie de sa carrière à défendre la cause amazonienne dément les accusations portées contre sa personne. Dans une plateforme de discussion, son confrère Darren Lambo l’a invité à profiter de cette situation pour reconsidérer sa position et revenir dans la République.

« C'est ton pays, Michel. Dieu a permis que tu y naisses. Ne le détruit pas. Propose des solutions. Que ton cœur soit en paix, ne nourrisse plus quelque amertume pour ton pays, et que l'Éternel mon Dieu et tendre Père céleste de bénisse. Prie d'ailleurs pour que ton pays sorte de ce merdier. Ne travaille pas à sa division », a écrit Darren Lambo en guise de conseil d’après nos confrères du Bledparle.

Le chef de la division de la Communication du ministère de la Défense, le capitaine de Frégate Cyrille Atonfack Guemo également présente sur la plateforme, pense que le journaliste Michel Biem Tong est irrécupérable. Il prédit un avenir très sombre pour le confrère en exil. La tête du professionnel de média sera bientôt mise à prix.

« Ce que tu dis peux avoir sens ... si tu t'adresses à quelqu'un qui a encore le sens de la mesure ... le sens de la vérité et de l'honnêteté... Bref le bon sens tout simplement. Malheureusement... tu as en face un individu qui aurait dû il y a longtemps rentré dans un circuit psychiatrique.

Peut-être que de ce côté-là... on aurait sauvé quelques restes d'une psychologie trouble et hantée par la détestation de soi, la versatilité, la perfidie maladive et le mensonge éhonté à 2 balles. Trop tard. Vraiment trop tard.
Judas Michel Biem Tong est malade. Vraiment malade. Chacune de ses publications pourrait le conduire 100 fois derrière les barreaux s'il lui était appliqué les lois en vigueur au Cameroun.

Ceci est d'ailleurs tout aussi valable à l'étranger, y compris en occident, où le mensonge journalistique reste sévèrement puni. Même s'il reste vrai qu'avec Judas Biem Tong ... nous avons plutôt à faire à un cas pathologique qui devrait interpeller les cliniciens.

Laisses Judas Biem Tong s'enfoncer et boire le rêve étranger jusqu'à la lie, jusqu'au délire. Une fois que ses soutiens auront prélevé jusqu'à la dernière goutte de son peu de jus cervical ... heureusement qu'il en est peu doté.... Le reste ne sera pas très éloigné du papier hygiénique de bas niveau. C'est à dire le rouleau à 50 FCFA... 3 rouleaux à 100 FCFA. Le coq n'a pas encore chanté 3 fois. Même pas une fois.

Michel Biem Tong chiale déjà. Ses amis d'hier ne vont pas tarder à mettre sa tête à prix», a-t-il déclaré.