• Paul Biya ne se sépare pas souvent de cette bague
• Paul Biya, serait « frère de lumière »
• Personne n’arrive à prouver s’il se rend dans les temples ou pas
L’appartenance du président camerounais Paul Biya au cercle des « frère de lumière » a fait un grand bruit depuis plusieurs années. En effet, selon plusieurs sources, le chef de l’État, Paul Biya, serait « frère de lumière ». Seulement, les sources sont toutefois incapables de confirmer s’il s’est un jour rendu dans un temple ou pas.
Ce qu’on sait, c’est que le président Paul Biya est toujours à une bague spéciale qui est réputée utilisée par les « frères de lumière ». En effet, qu’il s’agisse d’une grosse bague de fiançailles, d’une alliance, ou de la bague du pape, l’anneau est porté pour symboliser un lien d’amour, le sens de la dévotion ou un signe d’appartenance de celui qui le porte.
Les bagues maçonniques sont populaires parmi les Francs-maçons parce qu’elles sont un sceau de distinction depuis des siècles. Les Francs-maçons modernes portent leurs bagues comme un symbole de fidélité à leur mission et à leurs valeurs.
L’anneau d’un franc-maçon est un moyen par lequel ils peuvent se reconnaître en public. C’est un signe extérieur qu’ils font partie de la plus ancienne fraternité du monde et qu’ils partagent les mêmes valeurs que cette fraternité. En termes simples, la bague ressemble à une version discrète d’une poignée de main secrète.
« Dans le gouvernement, quelques triponctués ont bien été identifiés. Grégoire Owona, le ministre du Travail, est passé sous le bandeau, même s’il n’a plus mis les pieds à une cérémonie depuis une bonne décennie. Nommé en octobre 2015 ministre des Enseignements secondaires, Jean Ernest Ngallé Bibehe est aussi un frère… mais est issu du secteur privé », écrivait Jeune Afrique qui s’était plongé dans le quotidien des francs-maçons et francs-patrons.
Au Cameroun, la maçonnerie recrute peu et est constituée à 50 % de Doualas et à 40 % de Bassas. « La présence des Bamilékés et des ressortissants du Grand Nord, qu’ils soient musulmans ou animistes, est donc anecdotique », précise le média.
Il faut aussi rappeler que le Cameroun a accueilli l’édition 2016 des Rehfram.