Actualités of Friday, 7 February 2025

Source: www.camerounweb.com

Collège d'Odzoa : voici ce qui est arrivé aux 5 garçons de la partouze

Une sanction exigée Une sanction exigée

Les images n'ont pas encore disparu de nos mémoires, ni des plateformes sur lesquelles elles ont été publiées. Une fille et plusieurs garçons du collège adventiste d'Odzoa se sont livrés à des scènes insupportables et inacceptables. Le pire, du point de vue de tout observateur, est qu'ils ont décidé de se filmer en pleine pratique.

Les faits, s'il faut encore les rappeler, se sont produits il y a quelques jours, impliquant les élèves de l'établissement scolaire susmentionné. Les apprenants ont mis de côté leurs cours pour se concentrer sur une partie de plaisir qu'ils n'ont certainement pas appris à l'école.

Une fille et cinq garçons sont les principaux protagonistes. La jeune élève s'est donné la peine de satisfaire tous ses camarades tour à tour, chacun ayant le sourire aux lèvres. Ils avaient leurs téléphones allumés, lesquels ont été utilisés pour filmer la scène.

Au début, ils étaient dans leur tenue scolaire, mais comme le bonbon ne se mange jamais avec son emballage, ils se sont ensuite débarrassés de leur uniforme. La séance pouvait alors commencer.

La suite, tout le monde la connaît déjà. Le film érotique s'est retrouvé sur les réseaux sociaux. Les internautes peuvent l'avoir gratuitement, sans abonnement ni protocole compliqué. Il suffit simplement de le télécharger et de le regarder autant de fois qu'on le voudra.

Cet épisode digne d'un scénario aux allures de ceux proposés par Dorcel TV a choqué les parents et tous les acteurs de la société qui militent pour une éducation épanouie des élèves. Une pression immense a donc été mise sur les responsables de cet établissement qui ont rapidement compris qu'il fallait prendre une décision et vite.

Il n'y a pas besoin de faire une longue enquête. Les visages des élèves impliqués dans la sextape étaient déjà connus. Leurs noms aussi selon toute logique. La première à être sanctionnée fut la fille.

Elle est devenue la starlette de l'école, facilement identifiable avec son teint clair et sa forme svelte qui n'était plus à présenter. Cette dernière a été exclue de l'établissement avec effet immédiat, sous les cris stridents et les moqueries acerbes des autres élèves du collège adventiste qui l'ont vue passer timidement, prenant la route pour la maison sans jamais revenir.

Une pratique jugée trop humiliante et potentiellement traumatisante pour la principale concernée. Les plus sages préconisaient un règlement silencieux de cette affaire de mœurs. Selon eux, même si l'écolière devait être renvoyée, ce ne devrait pas être fait avec autant de vacarme, comme si les encadreurs voulaient s'en laver les mains et la jeter à la vindicte populaire.

Mais, là où le bât blesse est que jusqu'ici, les 5 garçons impliqués dans le jeu de reins ne sont pas inquiétés. Ils se la coulent douce et continuent d'aller à l'école. Une injustice dénoncée par la plupart des observateurs qui suggèrent que l'impartialité soit de mise. Il est clair qu'autant la fille est coupable, autant les garçons le sont aussi.

Les premiers décideurs de l'établissement vont-ils écouter les conseils des uns et des autres ? Ou ont-ils déjà leur propre plan en tête qu'ils vont suivre concernant les 5 jouisseurs ? Des réponses à ces questions sont attendues dans les heures/jours suivants.