Alim Adji, contrôleur financier auprès de la communauté urbaine de Maroua y est vivement impliqué dans des actes de corruption.
Depuis son arrivée dans au sein de cette communauté qui englobe les Communes de Maroua 1, 2, 3 en 2016, la corruption est devenue la chose la mieux partagée.
Monsieur 10%, comme l'appellent les prestataires de la ville pour qualifier son attitude véreux et ses actes abusif, il exige des pots-de-vin pour de valider tous les documents soumis à sa signature, sinon c'est le blocage total.
Les dénonciations inondent à son encontre. Les entrepreneurs en ont assez de ce Monsieur 10% qui consacre son temps à la construction de luxueuses maisons dans la ville.
La dernière en date étant celle de Ziling, à proximité du Commissariat du 1er Arrondissement de Maroua, construite avec l'argent extorqué à chaque dossier demandant l'approbation du contrôleur.
Ses 08 années passées à la Communauté Urbaine de Maroua lui ont permis d'établir un cartel sans scrupules, digne d'un corrupteur habile se cachant derrière une façade timide. Même la société Hysacam, censée être rémunérée sans conditions, se voit contrainte de se plier à ses exigences : 10% ou rien.
Nous appelons l’intelligence du Ministre des Finances et la CONAC pour la vérification des faits.