Le chroniqueur sportif Frank Lima, dans sa tribune intitulée "Ceux qui ont accompagné Samuel Eto’o pendant sa campagne et l’ont lâché après n’avaient pas compris la pertinence de son Slogan," met en lumière la pertinence du slogan de Samuel Eto'o concernant la grandeur du football camerounais. Il souligne que le premier problème est que les dirigeants du football camerounais ont mal interprété le slogan, pensant qu'il s'agissait de leur propre grandeur plutôt que celle du football en général.

Selon l'auteur, la grandeur dont parle Samuel Eto'o concerne principalement les joueurs de football et non les dirigeants. Il compare cette relation à celle de la musique, où la voix est essentielle pour exister. De la même manière, pour que le football prospère, il a besoin de footballeurs talentueux qui bénéficient d'une gestion appropriée.

Samuel Eto'o fait référence à des éléments tels que la traçabilité des paiements de salaire, des primes discrètes, des sponsors et partenaires, ainsi que des garanties sociales et médicales pour les joueurs. Cependant, les présidents de clubs habitués à des pratiques peu transparentes ne semblaient pas prêts à se conformer aux exigences du président de la Fecafoot (Fédération Camerounaise de Football), ce qui a entraîné leur mécontentement.

L'auteur souligne qu'aujourd'hui, ceux qui ne respecteront pas les règles établies par la fédération ne seront pas autorisés à participer au prochain championnat, même si cela signifie réduire le nombre de clubs participants. Il prend l'exemple du championnat suisse de première division qui se joue avec 10 équipes, démontrant ainsi que cela peut fonctionner au Cameroun également.

En conclusion, Frank Lima rappelle que l'objectif de Samuel Eto'o est toujours de redonner au football camerounais toute sa grandeur, mettant l'accent sur le bien-être des footballeurs et sur une gestion transparente et équitable du sport.


[Ceux qui ont accompagné Samuel Eto’o pendant sa campagne et l’ont lâché après n’avaient pas compris la pertinence de son Slogan]
Par Frank Lima
Redonner au football camerounais toute sa grandeur et non redonner aux dirigeants du football camerounais toutes leurs grandeurs. le premier problème.
les dirigeants du football camerounais ont cru au départ que c’était à eux qu’on devrait redonner de la grandeur. Mais ils ont oublié que si on parle de football ce qui s’agit des footballeurs et non des dirigeants.
Pour qu’il y ait football il faudrait des footballeurs et c’est à eux que la grandeur est destinée.
Un peu comme la musique qui a besoin du premier instrument qui est la voix pour exister. S’il y a pas de voix dans une musique ça devient la musique classique.
Autrement dit s’il y a pas footballeur il y a pas football.
La grandeur dont Samuel Eto’o parlait c’est la traçabilité de paiement de salaire,les primes qui passent sans faire du bruit,les sponsors et partenaires,l’affiliation des joueurs à la CNPS,la couverture sanitaire du joueur,l’assurance et les autres choses semblables.
A travers ses éléments cités ci-haut,les présidents des clubs habitués à la pratique du <> comme on dit chez nous,n’étaient pas encore prêts pour se conformer aux exigences du président de la Fecafoot et c’est la raison pour laquelle ils ont manifesté leur mécontentement à son endroit.
Aujourd’hui il y a lieu de savoir que tous ceux qui ne vont pas se conformer aux règles proscrites par la fédération ne vont pas participer au prochain championnat. Même à 10 clubs le championnat va se jouer!
En suisse le championnat professionnel de première division se joue à 10 et laissez-moi vous dire que ça se passe bien.
Pourquoi pas aussi chez nous ??
Redonner au football camerounais toute sa grandeur était,est et sera toujours l’objectif de Samuel Eto'o
Frank Lima(Chroniqueur Sportif)
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