Comprendre 'enfin' les décès en cascade de 'ceux qui ont vu le corps d’Irène Biya, y compris le prêtre'

Pour certains ce n'est que le fruit du hasard mais si le hasard n'existe pas comment expliquer que tous ceux qui ont vu le corps de l'ex première dame Jeanne Irène Biya ou encore qui ont vécu ces derniers instant sur terre sont tous morts de manière tragique et pas très claire ?

Notre confrère de camerfoot-infos.com nous plonge dans les révélations troublantes de l'écrivain camerounais Ebalé Angounou, auteur de l'ouvrage "Le vrai visage de Paul Biya". Ces révélations suggèrent que la mort de Jeanne-Irène Biya pourrait avoir été orchestrée de manière sinistre.


En août 1992, à Dakar, lors d'une réunion de chefs d'État, Paul Biya se lève pour annoncer une terrible nouvelle. Notre confrère cite Charles Ndongo, un journaliste qui accompagnait le chef de l'État, et qui nous livre les détails troublants de ce moment. Paul Biya, inquiet pour la santé de son épouse restée au pays, semblait s'attendre au pire. Il consultait sa montre de manière anxieuse, attendant des nouvelles à tout moment.

Finalement, son aide de camp s'approcha pour lui transmettre la terrible nouvelle : "on vient de m'annoncer une terrible nouvelle : mon épouse est décédée". Cependant, notre confrère souligne que cet épisode suscite des interrogations, car un mari aimant n'aurait pas quitté le pays si son épouse était si malade. Il semblerait que Paul Biya avait des informations détaillées sur l'exécution de son épouse et qu'il connaissait l'heure approximative à laquelle cela se produirait.


Nos confrères rapportent que les pairs africains de Paul Biya à Dakar ne sont pas dupes et ont perçu un malaise. Ils ont préféré envoyer des messages de condoléances plutôt que de se rendre en personne aux offices religieux. Même leurs épouses, dont certaines étaient amies de la défunte, ont évité de se déplacer. Cela suggère un boycott implicite en signe de mécontentement envers Paul Biya.


La révélation la plus troublante concerne la série d'actions entreprises pour éliminer les témoins potentiels. Des religieuses de Djoum, qui avaient rencontré Jeanne-Irène Biya peu de temps avant sa mort, ont été brutalement assassinées après avoir été torturées et forcées de faire des aveux. De plus, l'Abbé Amougou, à qui la défunte avait confié des enregistrements contenant des révélations sur sa vie avec son mari, est décédé dans des circonstances mystérieuses après avoir reçu l'un de ces enregistrements.