L'intervention imminente de la CEDEAO pour restaurer la démocratie au Niger semble se préciser. Plusieurs éléments indiquent que l'opération est prête à être lancée.

La junte militaire accuse la France d’agression «en collaboration avec certains pays de la CEDEAO tels que le Bénin, la Côte d’Ivoire, et le Sénégal». Les putschistes affirment que «des véhicules blindés sont stationnés à Malanville (Bénin), ainsi que des hélicoptères de guerre, et des militaires français en Côte d’Ivoire, dans le but d’attaquer le Niger.

1. Déploiement massif de troupes : Environ 30 000 soldats de la CEDEAO sont déjà déployés aux frontières du Niger en préparation de l'intervention.

2. Force blindée considérable : Un grand nombre de véhicules blindés, soit 450, sont prêts à être utilisés, montrant la détermination de l'opération.

3. Services de renseignement actifs : Les services de renseignement de la CEDEAO sont opérationnels sur le territoire nigérien pour recueillir des informations cruciales.

4. Puissante aviation en alerte : Une flotte aérienne impressionnante composée de chasseurs, d'hélicoptères de combat et de véhicules de transport de troupes est en attente dans les pays voisins.

5. Cibles identifiées : Les cibles de l'opération sont clairement définies, indiquant une planification minutieuse.

6. Quartier général opérationnel : L'état-major de commandement est déjà fonctionnel pour coordonner l'opération.

7. Autorisation de lancement accordée : L'ordre de lancement de l'opération a été donné, ce qui signifie qu'elle est sur le point de débuter.

La situation au Niger semble donc tendue, avec une intervention militaire imminente pour rétablir la démocratie et réinstaller le président Bazoum.