La course à la Succession de Paul Biya devient encore plus infernale et l'incertitude plane sur la présidentielle de 2025.

À mesure que l'élection présidentielle camerounaise de 2025 se profile à l'horizon, une question brûlante occupe les esprits et surtout les écrits du confrère Cameroun Actuel : en l'absence d'une candidature de Paul Biya, qui prendra sa place à la tête du pays ?

L'incertitude règne au sein du pays alors que le président en exercice, Paul Biya, ne s'est pas encore prononcé sur sa candidature. À 91 ans, et après plus de quatre décennies au pouvoir, les spéculations sur son retrait imminent sont de plus en plus courantes. Cette situation soulève des interrogations cruciales sur l'avenir politique du Cameroun.

Plusieurs personnalités émergent comme des prétendants potentiels, chacun avec sa propre vision et son propre plan pour le pays. Les partis politiques et les citoyens attendent avec impatience des annonces officielles, espérant des candidats capables de relever les défis actuels du pays, notamment sur le plan économique, social et environnemental.

L'absence d'une candidature de Paul Biya ouvre la voie à une course présidentielle plus compétitive que jamais. Les Camerounais se demandent si un nouveau leader sera en mesure de rassembler le pays, de promouvoir l'unité et de répondre aux aspirations variées de la population.

Dans les coulisses des partis politiques, les tractations politiques vont bon train. Les alliances se forment et se brisent, les personnalités politiques se positionnent pour gagner la faveur du public, et les électeurs scrutent attentivement chaque mouvement, cherchant à comprendre qui sera le visage du Cameroun de demain.

L'élection présidentielle de 2025 promet d'être un moment charnière dans l'histoire politique du Cameroun. Les enjeux sont élevés, et le pays attend avec impatience de voir quel leader émergera pour guider la nation vers un avenir meilleur. Alors que l'ombre de Paul Biya plane sur le scrutin, le peuple camerounais attend avec anticipation la réponse à la question pressante : qui pour le remplacer ?