Actualités of Thursday, 11 November 2021

Source: InfoMatin

Covidgate: Madeleine Tchuinté victime des 'marionnettes des cabinets noirs'

Madeleine Tchuinté, ministre de la Recherche Scientifique Madeleine Tchuinté, ministre de la Recherche Scientifique

Décidément, les ennemis du Dr. Madeleine Tchuinté, ministre de la Recherche Scientifique et de l’innovation, ne se fatiguent pas, malgré leurs revers dans leurs entreprises nauséabondes de diabolisation et de calomnie conte cette fidèle parmi les fidèles de l’homme du 6 novembre.

Après le retentissant échec de leur campagne de diabolisation, les ennemis acharnés de la ministre de la Recherche scientifique et de l’innovation (Minresi) ouvrent un autre-front. Toute honte bue, ils propagent, via un certain journal pécuniairement fébrile et déontologiquement approximatif, que les chercheurs au ministère de la Recherche scientifique et de l’innovation sont en grève.

D’ailleurs, il y a quelques mois, ce journal a livré dans ses colonnes une interview imaginaire de Dr Madeleine Tchuinté, dans laquelle on lui prêtait des propos invectivant vis-à-vis du chef de l’État, Paul Biya, et de l’ambassadeur de France au Cameroun Christophe Guilhou. Un véritable scandale communicationnel !

Pour soutenir leur allégorie, les auteurs de cette élucubration ont cru devoir mettre à charge un prétendu préavis de grève, adressé au Premier ministre, Joseph Dion Ngute, visiblement rédigé et signé par des loubards qui n’ont rien à voir avec la qualité de chercheur. Les auteurs de ce document qui s’apparente à un magma verbeux, tentent de faire endosser, par les chercheurs, des prétendus griefs qui se situent aux antipodes de tous les efforts considérables déployés au cours de ces dernières années par les pouvoirs publics, en vue d’améliorer leurs conditions de vie et de travail.

Conditions de travail améliorées. Les plus saillantes de ces actions menées par le gouvernement de la République, sous la diligence du Dr Madeleine Tchuinté, sont le repêchage et l”intégration dans [e portefeuille des agents publics de certains chercheurs recrutés en 2002 en violation du critère d’âge, la restauration des indemnités des chercheurs gelées lors dé la baisse des salaires des agents publics en 1993, l’amélioration des conditions de vie et de travail des chercheurs à travers entre autres l’opération «un chercheur, un ordinateur», l’évaluation des chercheurs chaque année (alors qu’avant, la fréquence de cette évaluation était pratiquement d’une fois tous les 20 ans), ce qui leur permet d’avancer en grade, la revalorisation de la profession de chercheur à travers l’instauration du port de la toge, les hommages scientifiques et autres, le relèvement à 60 ans de l’âge de départ à la retraite des chercheurs à la faveur de la récente harmonisation décidée par le chef de l’État, etc.

En outre, dans leur écrasante majorité, les chercheurs savent gré au gouvernement pour toutes les actions menées en leur faveur. Au demeurant, à maintes reprises, ils ont manifesté leur reconnaissance au chef de l’État en lui adressant des motions de soutien et de déférence.

En définitive, au regard de leurs échecs successifs et cuisants, il est temps pour les adeptes et les mentors de la haine, de la calomnie, de l’intoxication, de la délation, de la désinformation et de l’outrage à l’encontre des. hautes personnalités de la République de mettre un terme à leur basse besogne. De leur côté, les acteurs de la communication doivent s’abstenir de continuer à transformer leurs organes de presse en plateforme de règlement de compte.

Cabale de trop. Décidément les ennemis de la Minresi ne se fatiguent pas, malgré leurs revers dans leurs entreprises nauséabondes de diabolisation et de calomnie de cette fidèle parmi les fidèles de Paul Biya.

En effet, ceux-ci ont récemment entrepris une cabale kafkaïenne contre Dr Madeleine Tchuinté, en tentant de faire croire à l’opinion publique qu’elle faisait partie des prévaricateurs qui ont siphonné les fonds Covid-19. Ils ont ainsi tenté de lui faire porter la responsabilité de la gestion d’une imaginaire somme de plus de six milliards de francs Cfa relevant du fonds spécial de solidarité nationale pour la lutte contre le coronavirus et ses répercussions économiques et sociales (Cas Covid-19) : une véritable plaisanterie de mauvais goût.

Mais, comme la vérité finit toujours par triompher, tous les documents disponibles ont prouvé que les « marionnettes des cabinets noirs » s’acharnaient injustement sur la Minresi. Ainsi, à la lecture du rapport du ministre des Finances, Louis Paul Motaze, sur l’exécution au titre de l’exercice 2020, l’opinion a été édifiée sur le fait que la Minresi n’a ni reçu, ni géré le moindre franc du fonds Covid-19.