Une femme qui a visiblement trouvé le bonheur chez un autre homme, a tué celui avec qui elle vivait il y a deux (02) ans maintenant.

C’est un acte d’une extrême cruauté qui choque toutes les personnes à qui l’histoire est racontée. L’amant de la femme meurtrière est un élément de la garde présidentielle.

C’est un lanceur d’alerte camerounais qui porte la nouvelle à la connaissance du public dans une publication sur sa page Facebook.

« Poison info. Yaoundé, Ekounou. En pleine agonie, il fait parvenir un message à l'homme avec qui sa compagne le trompe lui annonçant que celle-ci l'a empoisonné et meurt quelques heures plus tard.

Il s'appelait Kengne Beaudelaire, elle Biloa Virginie. En couple depuis deux (02) ans, tout semblait se dérouler dans le bonheur et l'amour jusqu'à ce soir du 06 janvier de cette année où monsieur et mademoiselle furent invités à un festin lors d'une soirée de mariage.

Après avoir consommé de bons plats et exécuté quelques pas de danse, le couple regagna dans la paix habituelle son domicile à trois (03) heures du matin.



Il est cinq (05) heures lorsque sa compagne Biloa réveille le quartier entier par des cris déchirants et aiguës. Beaudelaire, tout nu gît sur le sol le corps sans vie.

C'est l'incompréhension et la confusion totale. La tournure des événements qui suit s'apparente à un roman policier quand émerge une malsaine curiosité.

La compagne du défunt sans attendre l'inhumation de son homme perd patience. Elle veut tout de suite ce qu'elle appela "sa part de biens" et s'accapara séance tenante du mobilier et de l'électroménager avant de prendre la tangente comme un personnage de votre rubrique préférée Schéma Info.

Une attitude qui intrigue, incitant les proches du défunt à scruter de près le ralenti du film ou si vous voulez des événements ayant précédé la mort soudaine et suspecte de Beaudelaire.

C'est ce message découvert, envoyé par ce dernier dans ses ultimes instants qui éclairera les zones d'ombre qui entouraient le mystère.



Téléphone en main, agonisant, Beaudelaire fit parvenir les raisons de sa mort à l'amant de sa compagne, un adjudant-chef de la garde présidentielle », lit-on.