Actualités of Saturday, 13 October 2018

Source: vision4.tv

Décès de la fille du PDG de Vision 4: de nouveaux éléments dévoilés

Amougou Mimboe Florence a disparu il y a quelques années déjà Amougou Mimboe Florence a disparu il y a quelques années déjà

Des personnes sans foi ni loi, qui n’ont aucun respect pour les morts, surtout celle d’une jeune fille de moins de 25 ans. Amougou Mimboe Florence dite « Starline », a disparu il y a quelques années déjà.

Depuis lors, la consternation a frappé sa famille, pour cette perte lourde et pénible. Mais à son décès, une cabale avait été lancée à l’endroit de son père, Jean Pierre Amougou Belinga, à travers les réseaux sociaux, l’accusant de tous les noms d’oiseaux. Pourtant les auteurs de cette action misérable, visaient son ébranlement.

Dans leur course effrénée, Youssoupha Bassirou et Pemboura Zouliatou ont prévu de mettre mercredi prochain sur les réseaux sociaux un enregistrement sonore, dans lequel mademoiselle Zouliatou se passerait pour la défunte. Et dans cet enregistrement il aurait été question d’invectiver une fois de plus le père, malgré l’indescriptible douleur qu’il traine depuis la disparition de sa fille.

LIRE AUSSI: Morts suspectes à Vision 4: un ex-marabout d’Amougou Belinga dévoile ses plans

Après des incohérences à répétition, ils sont finalement et honteusement passés aux aveux dans lesquels, ils citaient nommément des personnalités concurrentes du Secteur de la Communication, et quelque farfelu en mal de reconnaissance et de sensation forte, à l’instar Patrice Nouma. Ce dernier, qui avait tôt fait d’entrer en action à travers des écrits, qui prouvent à suffire son incompétence, son manque de respect et le fait qu’il ne connaisse pas l’Amour que Jean Pierre Amougou Belinga a pour sa progéniture.

Au final, le couple d’escrocs a été conduit menottes aux poignets, dans l’un des services de police de la place à Yaoundé, pour besoin d’enquête. Et en attendant le fin mot de cette affaire, d’autres arrestations, même hors du pays sont annoncées.

Les procédures judiciaires étant enclenchées, les langues ne cessent de se délier. Le mal ne reste pas impuni éternellement.