La communauté de Bonaberi à Douala est secouée par une situation alarmante où des allégations accablantes pointent du doigt les forces de l'ordre pour des perquisitions illégales. Des témoignages anonymes font état d'incidents troublants impliquant des membres des forces de sécurité, suscitant des inquiétudes quant aux violations flagrantes des droits des résidents.

Selon les informations anonymes recueillies, des policiers, gendarmes et militaires ont envahi la zone tôt le matin, prétendument à la recherche de criminels. Cependant, au lieu de mener des enquêtes conformément à la loi, ils ont effectué des perquisitions sans mandat, confisquant des biens sans justification valable.

Un résident, sous couvert d'anonymat, décrit des agents des forces de l'ordre entrant de force dans les maisons, empêchant les habitants de circuler librement. Des biens auraient été saisis, créant un climat de peur et de méfiance au sein de la communauté.

Cette série d'actions constitue une violation manifeste des droits constitutionnels et engendre une perte de confiance envers les forces de l'ordre censées protéger la population. Une enquête urgente est essentielle pour rétablir la confiance et garantir que les forces de l'ordre agissent dans le respect des lois et des droits fondamentaux.

Les habitants de Bonaberi appellent à une action immédiate des autorités compétentes pour enquêter sur ces allégations, restaurer la dignité des citoyens, et prévenir de futures intrusions illégales. La transparence totale est requise pour restaurer la confiance envers les autorités chargées de faire respecter la loi.