Le président national du Mouvement de la Renaissance du Cameroun (MRC) est de Baham. Naturellement, beauicoup de Bamilékés se sentent attirés par le MRC qui est l'un des leurs. Tout comme les Béti se sentent attirés par le RDPC dirigé par l'un des leur…

En tant normal, cela est une réalité politique en Afrique et ne doit pas causer un problème. Sauf que nous sommes au Cameroun, et que tout est en l'envers dans ce pays. On pare de tribalisme, alors que les dirigeants de ce parti n'on jamais eu des comportements tribalistes.

Voici ce que publie la plateforme Construire Ensemble

"71 % DE BAMILEKÉS NOMMÉS PAR KAMTO DANS SON DIRECTOIRE
J'avais dit ici qu'en sacrifiant son seul allié stratégique Sawa pour protéger le clan de bamilekés impliqué dans le vol de 300 milles euro SCSI, le grand prof renonçait au combat politique pour récupérer le statut de symbole de la lutte des bamilekés ‹‹ frustrés›› du régime.

A quelques mois des élections, faire ce type de nominations en concédant 71% des postes à une région sur 10, il affirme son attachement à l'idée d'un parti communautariste avec pour seul espoir non plus la présidentielle, mais les législatives et municipales.

Kamto pense pouvoir capitaliser l'électorat Bamileké à Wouri Est, Douala 5è, Douala 4 e etc. les localités à forte concentration des bamilekés.

Pour preuve, ses tournées d'installations des cadres de son parti, il n'est allé que dans ces Zones , occasion aussi de faire les plans serrés pour juste sa popularité. Et pour ne pas décourager le peu de suiveurs qui restent au MRC, il brandit la menace d'un coup d'état militaire après sa victoire à la prochaine présidentielle alors qu'il sait qu'il est non éligible (Sans doute une idée d'Alberto), qui a toujours brandi la victoire très prochaine de Kamto pour soutirer l'argent auprès des commerçants originaires des hauts plateaux".