Il a été surpris en compagnie de sa maîtresse par son épouse à la sortie d’une auberge au quartier Essos à Yaoundé. La cocufiée qui demande le divorce, était sans nouvelle du mari volage depuis trois jours.

Comme le dit un adage, « Quatre vingt dix-neuf jours pour le voleur, un jour pour le patron ». Samedi 1er juillet 2017 au quartier Essos à Yaoundé. Christian, époux infidèle a été pris à son jeu par son épouse Chantal. Ce dernier a quitté le foyer conjugal le 27 juin dernier sans laisser de nouvelle. Inquiète de cette disparition subite, son épouse lance des avis de recherche. Pensant qu’un malheur lui est arrivé, cette dernière se rend chez sa belle-soeur, pour l’alerter.


Mais en chemin, Chantal tombe sur son mari en train de sortir d’une auberge avec une autre femme. Le couple est tendrement enlacé. Consternée par ce qu’elle vient de voir, elle se met à crier. « Christian que fais-tu ici ? Cela fait trois jours que tu m’as abandonnée avec les enfants sans rien dire, même pas appeler ».

Et d’ajouter toujours aussi hystérique : « moi qui croyais que quelque chose t’était arrivé. Tu te mets à l’aise avec une autre femme dans un motel pendant que je me fais du souci pour toi. Un grand homme d’affaires comme toi cherche quoi dans les motels des sous-quartiers, n’y a-t-il pas des hôtels ? En tout cas on se voit à la maison », menace Chantal.


Ses pleurs attirent l’attention des badauds qui accourent pour vivre la scène « en direct ». Christian est muet face aux menaces de sa femme. D’ailleurs cette dernière ne veut rien entendre. Pour bien manifester sa rage, Chantal lui assène une gifle retentissante alors que le malheureux tente de se justifier. Puis par téléphone appelle sa belle-soeur. Illico, cette dernière arrive. Afin de calmer Chantal, elle l’amène à son domicile non loin de l’auberge.
En s’y rendant, Chantal en pleurs, ne peut s’empêcher de crier : « Christian tu m’as déçue, je t’ai fait quoi pour mériter une telle humiliation ? Ne suis-je pas une femme soumise et calme ? Que veux –tu de plus ? En tout cas, j’en ai marre je demande le divorce ».

Essayant de la consoler, sa belle-soeur lui demande de penser d’abord aux enfants avant de prendre une telle résolution. D’après Chantal, son époux n’est pas à son premier forfait. Quant à la maîtresse de son époux, prise de panique, elle s’est enfuie lorsqu’elle a aperçu la véritable moitié de l’homme de ses convoitise