• Elles seraient devenues encombrantes dans les rues
• Les populations de Douala sont mécontentes
• Elles ont été chassées
Des vendeuses de piment ont été chassées en début de semaine à Douala. Elles ont été déguerpies au moment même où les sextapes de Christelle Atangana alias Chocolat de mer inondent les réseaux sociaux.
De sources concordantes, « les vendeuses de "piment" étaient devenues envahissantes dans certains quartiers chauds de la ville de Douala, capitale économique du Cameroun.»
Les populations ont donc passe un gros coup. Visiblement, « aucune vendeuse de piment n'était présente aux environs de 22 h hier soir à la rue Bébé Elame, Ange Raphael, Deido, lieu dit Kwassa Kwassa à Bonaberi à Douala », rapporte caler.be.
« Ces belles de nuit qu'on a l'habitude de voir exposées le long des rues à la merci de toutes les intempéries ont été expulsées par les agents de la communauté urbaine de Douala », indique le journal.
« Nous rencontrons déjà trop de difficultés pour survivre, maintenant on nous empêche de vendre notre marchandise (piment) », a déploré M.N, une vendeuse de piment à nos confrères.
Sextape : très mauvaise nouvelle pour Christelle Atangana
Christelle Atangana est dans de beaux draps. La 'sextapeuse' camerounaise a fait parler d'elle sur la toile ces derniers jours.
Il a publié elle même des sextapes d'elle même sur les réseaux sociaux. Des vidéos devenues rapidement virales et qui suscitent indignation pour les uns et appréciation pour les autres.
Offusqué ce matin de l’étalage sur les réseaux sociaux de la jeune Cynthia Fiagan, M. NTAMACK JEAN MERIMÉ, Sociologue, s’est exprimé à ce sujet. Il a interpellé les ministres et ONG afin de jouer leur partition.
« Depuis que cette jeune dame pavane sa nudité sur la toile où sont passées les ministres de la femme et de la promotion de la famille, le ministre des affaires sociales ? Où Sont les actrices de 8 mars ? », se demande le sociologue.
« Cette jeune fille dont je préfère taire le nom et dont les vidéos dansant presque à poil avaient fait le tour pendant la CAN qui aujourd'hui menace de publier 50 vidéos avec des partenaires différents qui sont pour la plupart mariés, est une attitude qui semble avoir un objectif précis puisque apparentée à un chantage c'est juste le reflet de la société qui a commencé à entrer dans la dérive », a-t-il affirmé.
« La famille de cette jeune fille est à condamner, l'entourage, les ONG et tous ceux qui lui donne des vues et commentent ses publications », a ajouté le sociologue.