C’est un témoignage relayé par le confrère ABK RADIO dans RDV L’AVIS DES GENS SAISON II. Le concerné décrit une situation assez inconfortable pour lui.
Salut je suis jean Paul je vis au quartier entrée bille ici même à Douala et depuis que j'écoute votre radio j'ai toujours en idée de raconter ce qu'on vit ici au quartier et qui nous dépasse tous.
J'ai un voisin qu'on n'a surnommé gros cœur, et ce surnom on le lui a donné parce qu'il se targue d'être polygame sans se marier.
Quand j'étais arrivé dans le camp, le voisin était en voyage mais il y avait une femme qui vivait dans une chambre du studio où il vivait, quelques jours après la fille est partie. 2 jours après le départ de la fille, le voisin est arrivé et s'est installé avec une autre fille, pendant qu'il était avec une autre, qui de temps en temps s'absentait. c'est une autre fille qui s'était installée avec lui. Jusqu'ici moi je me suis dit que c'est juste un homme qui aime les femmes , ce que je vous raconte la date de 2 ans précisément en Août.
Ce qui a attiré mon attention est qu'il y avait tout le temps les disputes là-bas parce qu'un studio me sépare de ce voisin et c'est comme ça que le japap a commencé. Quand les filles se croisaient c'était souvent les clashs mais personne pour nous donner vraiment les détails.
5 mois après celle qui était partie quand je venais d'arriver est revenue avec un enfant en main apparemment elle était allée accoucher, les choses sont redevenues normales au moins pendant quelques mois mais ça n'empêchait pas que quand elle allait en week-end ce dernier permutait entre les 2 autres. La mère du bébé a commencé à transgresser les lois que le monsieur avait mis sur pied il ne voulait pas que ces femmes soient en contact avec personne, elle parlait avec ses voisines et même certaines autres femmes du quartier, elle s'est liée d'amitié avec une qui lui dit que son mari était un homme à femme, elle lui a donné comme on dit souvent le fax sur les deux autres jusqu'à dire qu'il l'avait même dragué et proposé qu'elle vienne vivre avec lui.
On n'a su ça le même soir parce que la femme a attendu le retour de son mari pour tout lui dire et le monsieur n'a pas nié et lui a dit que je t'avais interdit de côtoyer les gens de ce quartier maintenant donc que tu sais tout ça pourquoi je vais encore cacher? Le même soir on n'a vu l'autre fille arrivée, le gars ne s'est pas gêné et la fille a passé la nuit, la mère du bébé n'a pas supporté elle est partie le lendemain aussitôt partie celle qui est à l'origine du départ s'est installée, les kongossa du quartier ont encore fait savoir à celle là quelques mois plus tard que le monsieur continue de faire venir l'autre en son absence et fait la cour à certaines femmes du quartier son traitement a été pareil que celle qu'elle était venue remplacée il a appelé celle qui était dans l'ombre et que l'autre connaissait déjà par e qu'elle se clachait déjà qui elle aussi est venue s'installer malheureusement celle qui était la avait vu ça comme un piège et n'est pas partie, quand la maman du bébé a appris que deux femmes s'étaient installées chez le gars elle aussi est revenue cette fois sans l'enfant et depuis ce jour les 3 femmes vivent dans la même maison que le monsieur sans s'entendre.
chacune espérant que les autres se lassent et quitte le navire mais je vous jure on voit ça comme la sorcellerie.
Deux de ces femmes travaillent, celle qui a le bébé fréquente encore, elles sont dans une espèce de concurrence qui ne dit pas son nom, tout le monde au quartier en parle mais le gars n'a pas le temps au contraire il s'en vante et dit à qui veut l'entendre celle qui ne veut pas part il n'a attaché personne.
Apparemment c'est quand il passe la nuit avec toi qu'il te rationne. On croyait avoir tout vu mais l'autre ci nous dépasse. Comment ils font alors que la maison n'a qu'une chambre? Aucun jour ne se passe sans qu'on ne suivre le bruit la bas on ne sait pas comment on appelle la qualité ci.
Cathy MINTSA et Julio Stony pour cette confidence incroyable dès 16h00 sur ABKRADIO 89.9 FM