Actualités of Monday, 10 October 2022

Source: www.camerounweb.com

Douala : piégée par les bandits qu'elle a envoyés pour tuer sa belle-sœur

Meurtre au Cameroun Meurtre au Cameroun


• Un nouvel acte criminel choque les populations

• C’est une affaire de famille

• Une femme veut éliminer l’autre

Les histoires comme ça deviennent légion au Cameroun. La haine et la méchanceté poussent les auteurs de ces genres d’actions meurtrières à franchir la ligne rouge. Les femmes qui ordonnent les bandits à éliminer des "cibles" pour des raisons diverses, ça commence par abonder dans les villes du Cameroun.

Parfois, elles réussissent leur coup et font des victimes. D’autres fois, leurs plans sont déjoués et elles finissent dans les mains des forces de l’ordre.

A Mbouda, plus précisément à Bamessingué, une commerçante a engagé des tueurs à gages pour éliminer sa belle-sœur au village.

Bamessingué est un village du Cameroun, chef-lieu de groupement et chefferie de 2ème degré de la commune de Mbouda, situé dans le département des Bamboutos et la région de l'Ouest.

« C'est la sordide nouvelle affaire qui secoue la capitale des avocats, Mbouda. Mme Ngoueni (ici en image) propriétaire d'une cave à Bonamousadi a recruté deux (02) malfrats chargés de tuer sa belle-sœur à qui elle vouait une haine », apprend la rédaction de CamerounWeb.

Dans les faits, « les tueurs arrivés sur les lieux et censés faire le travail vont plutôt passer un appel téléphonique en présence de celle qu'ils devraient assassiner, enregistrant la commanditaire Ngoueni qui sans le savoir, donnera les directives pour l'accomplissement du crime commandé ».

L'affaire mise à nue, Ngoueni va prendre la tangente est depuis lors, introuvable : « J'ai déjà peur de la créature féminine rien que le fait de savoir que je suis une femme, j'ai peur, l'enfer sera saturé par nous », reconnait une Camerounaise après avoir lu l’information.

« Ce n’est pas seulement de la haine simple. Il y avait autre chose cachée derrière cet acte. Sa belle-sœur doit remercier ces bandits dont Dieu a touché les cœurs », confie une autre très surprise qu’une femme puisse commanditer leur meurtre de sa propre belle-sœur.