Il s'agit d'un fait rapporté par nos confrères de Equinoxe Radio, dans ses récents bulletins d'information.

Les faits se sont déroulés à Nyalla un quartier périphérique de Douala. D'après notre confrère, l'homme de 50 ans a appâté la petite fille, avec un bonbon afin de l'amener loin de regards, et assouvir ses besoins.

La petite fille revenue à la maison, avait du mal à marcher. Ses parents ont remarqué que du sang coulait d'entre ses jambes.

"A Nyalla dans la ville de Douala, un homme de 50 ans est accusé d'abus sexuel sur une fillette de 5 ans. Après son forfait, il a été remarqué un écoulement sanguin sur le fessier de la fillette et l'on s'est souvenu que quelques temps plus tôt, l'homme a offert des bonbons à l'enfant. Il a été conduit auprès des forces de maintien de l'ordre", nous apprend Radio Equinoxe.

Le viol sur mineur.e et l’homosexualité sont des pratiques fermement condamnées au Cameroun. Le régime de Paul Biya n’a pas (encore) légalisé l’homosexualité, contrairement à d’autres pays du monde qui l’ont devancé. Mais les violeurs et les homosexuels existent au Cameroun, c’est un fait. Mais ces personnes se cachent, de peur d’être persécutées comme Shakiro, le transgenre condamné et jeté en prison avant de sortir avec l’aide de son avocat.

Récemment à Nkolbisson est un quartier populaire de la commune d'arrondissement de Yaoundé VII, deux (02) personnes de même sexe ont été arrêtées alors qu’elles étaient en train de se donner du plaisir. Il s’agit de deux (02) hommes surpris en pleins ébats. La population s’est immédiatement ruée vers le lieu de l’action pour faire le constat.


Par abus sexuel, on entend, selon la définition adoptée par les associations de sauvegarde de l'enfance, « toute utilisation du corps d'un ou d’une enfant pour le plaisir d'une personne plus âgée que lui ou elle, quelles que soient les relations qui existent entre eux, et même sans contrainte ni violence ».